L'amour (fou) pour un criminel

Par : Isabelle Horlans

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  • Nombre de pages203
  • PrésentationBroché
  • Poids0.275 kg
  • Dimensions14,0 cm × 22,0 cm × 2,0 cm
  • ISBN978-2-7491-3527-4
  • EAN9782749135274
  • Date de parution30/04/2015
  • CollectionDocuments
  • ÉditeurLe Cherche Midi

Résumé

Elles sont âgées de 20 à 50 ans, elles ont des projets, un mari, une carrière, parfois même la fortune. Pourtant, un jour, sur un coup de tête, elles vont tout plaquer par amour pour un criminel, le plus souvent un tueur en série. Les condamnés à perpétuité et les pensionnaires des «couloirs de la mort» jouissent d'une aura stupéfiante. La plupart des femmes qui leur écrivent ou les demandent en mariage ne les connaissent même pas, elles ne les ont vus qu'à la télévision ! Mais cela a suffi à provoquer leurs battements de coeur.
Comment est-ce possible ? Il existe plusieurs réponses. Chaque liaison est différemment motivée. Voici leurs histoires si singulières... Elles se prénomment Monique, Béatrice, Stéphanie, Sandrine, Laurence, Patricia, Doreen, Anna... Et, souvent, quand elles évoquent leur attachement, leur expérience, le romanesque l'emporte sur l'apparente absurdité de leur condition.
Elles sont âgées de 20 à 50 ans, elles ont des projets, un mari, une carrière, parfois même la fortune. Pourtant, un jour, sur un coup de tête, elles vont tout plaquer par amour pour un criminel, le plus souvent un tueur en série. Les condamnés à perpétuité et les pensionnaires des «couloirs de la mort» jouissent d'une aura stupéfiante. La plupart des femmes qui leur écrivent ou les demandent en mariage ne les connaissent même pas, elles ne les ont vus qu'à la télévision ! Mais cela a suffi à provoquer leurs battements de coeur.
Comment est-ce possible ? Il existe plusieurs réponses. Chaque liaison est différemment motivée. Voici leurs histoires si singulières... Elles se prénomment Monique, Béatrice, Stéphanie, Sandrine, Laurence, Patricia, Doreen, Anna... Et, souvent, quand elles évoquent leur attachement, leur expérience, le romanesque l'emporte sur l'apparente absurdité de leur condition.