L'âme chevillée au corps

Par : Eve Lerner
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages149
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.205 kg
  • Dimensions13,6 cm × 21,1 cm × 1,4 cm
  • ISBN978-2-918135-83-8
  • EAN9782918135838
  • Date de parution10/10/2013
  • ÉditeurDialogues (Editions)

Résumé

Une enfant muette développe son oreille. Les mots, les expressions, les vestiges de patois, les idiosyncrasies familiales, les mensonges, les images, les couleurs de la langue s'y logent pour longtemps. L'âme chevillée au corps tente de rendre, avec une inévitable déperdition due à l'érosion du temps, la langue ouvrière telle qu'Eve Lerner l'a entendue, avec ses incompréhensions d'enfant, cette langue foisonnante d'invention, ferment argotique et poétique où l'histoire est à l'oeuvre.
Ce roman langagier familial, hommage de l'auteur à sa mère, linguiste instinctive, se lit comme une archive encore vivante de la vie à l'usine et dans les familles ouvrières du XXe siècle. Une vie faite de travail abrutissant, mais aussi d'invention, de panache et de style. La langue des pauvres était une langue riche. Ce récit en garde la mémoire.
Une enfant muette développe son oreille. Les mots, les expressions, les vestiges de patois, les idiosyncrasies familiales, les mensonges, les images, les couleurs de la langue s'y logent pour longtemps. L'âme chevillée au corps tente de rendre, avec une inévitable déperdition due à l'érosion du temps, la langue ouvrière telle qu'Eve Lerner l'a entendue, avec ses incompréhensions d'enfant, cette langue foisonnante d'invention, ferment argotique et poétique où l'histoire est à l'oeuvre.
Ce roman langagier familial, hommage de l'auteur à sa mère, linguiste instinctive, se lit comme une archive encore vivante de la vie à l'usine et dans les familles ouvrières du XXe siècle. Une vie faite de travail abrutissant, mais aussi d'invention, de panache et de style. La langue des pauvres était une langue riche. Ce récit en garde la mémoire.