L'Affiche rouge. 21 février 1944, ils n'étaient que des enfants...

Par : Benoît Rayski

Formats :

Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages121
  • PrésentationBroché
  • Poids0.165 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,0 cm × 1,2 cm
  • ISBN2-86645-538-X
  • EAN9782866455385
  • Date de parution13/01/2004
  • CollectionQuestions d'époque
  • ÉditeurFélin (Editions du)

Résumé

Dans le firmament étoilé où scintillent par milliers les noms des résistants assassinés par les nazis pendant l'Occupation, ceux des vingt-trois de l'Affiche rouge brillent d'un éclat particulier. Si leur mort passa dans la légende, c'est bien sûr à cause de l'Affiche aux couleurs de sang et aussi parce que Aragon, après Éluard, en fit un poème. C'est bien sûr parce que Jean Ferrat mit une musique sur les paroles du poète et que Léo Ferré les chanta pour nous tous. Mais c'est avant tout parce que la plupart des combattants FTP-MOI étaient juifs, juifs polonais, juifs roumains, juifs hongrois, ce qui les qualifiait pour être les héros rêvés de tous ceux qui voulaient que la révolution fût sans frontière ni patrie. De surcroît ces héros étaient tous jeunes, très jeunes. Des enfants, comme l'écrira un jeune fusillé, Fernand Zalkinov dans sa dernière lettre : " Nous sommes des enfants les uns et les autres. Nous n'avons jamais prétendu être des héros [...]. Nous avons demandé comme dernière grâce de mourir ensemble. "
Dans le firmament étoilé où scintillent par milliers les noms des résistants assassinés par les nazis pendant l'Occupation, ceux des vingt-trois de l'Affiche rouge brillent d'un éclat particulier. Si leur mort passa dans la légende, c'est bien sûr à cause de l'Affiche aux couleurs de sang et aussi parce que Aragon, après Éluard, en fit un poème. C'est bien sûr parce que Jean Ferrat mit une musique sur les paroles du poète et que Léo Ferré les chanta pour nous tous. Mais c'est avant tout parce que la plupart des combattants FTP-MOI étaient juifs, juifs polonais, juifs roumains, juifs hongrois, ce qui les qualifiait pour être les héros rêvés de tous ceux qui voulaient que la révolution fût sans frontière ni patrie. De surcroît ces héros étaient tous jeunes, très jeunes. Des enfants, comme l'écrira un jeune fusillé, Fernand Zalkinov dans sa dernière lettre : " Nous sommes des enfants les uns et les autres. Nous n'avons jamais prétendu être des héros [...]. Nous avons demandé comme dernière grâce de mourir ensemble. "
L'affiche rouge
Benoît Rayski
E-book
7,49 €
L'affiche rouge
Benoît Rayski
Poche
7,95 €
Je brûle Paris
Bruno Jasienski
E-book
9,49 €
Je brûle Paris
Bruno Jasienski
Poche
9,90 €