L'affaire de Louvain, 1960-1968. 1960-1968
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- Nombre de pages333
- PrésentationBroché
- Poids0.485 kg
- Dimensions15,3 cm × 22,4 cm × 1,8 cm
- ISBN2-8041-3005-3
- EAN9782804130053
- Date de parution10/06/1999
- Collectionpol-his
- ÉditeurDe Boeck
Résumé
Depuis 1970, le paysage institutionnel de la Belgique n'a cessé de se modifier. L'un des principaux accélérateurs de ce processus fut, sans conteste, " l'affaire de Louvain " ou encore la crise du " Walen buiten " qui a débouché sur la scission de l'Université catholique de Louvain et le départ, en 1968, de sa section
francophone dans le Brabant wallon et l'agglomération bruxelloise.
Cet ouvrage montre que si l'idée d'une séparation s'est largement diffusée dans la seconde moitié des années soixante, elle était déjà mise en avant au début de la décennie. L'auteur nuance aussi la présentation manichéenne des acteurs en présence : il n'y avait pas,
un bloc flamand contre un bloc francophone mais aussi des membres flamands de l'université favorables au maintien à Louvain et, inversement, des francophones qui, dans une logique fédéraliste, prônaient le transfert en Wallonie. Enfin, il montre en quoi le conflit s'inscrit dans ce qu'on appelle parfois le " divorce belge ".
Depuis 1970, le paysage institutionnel de la Belgique n'a cessé de se modifier. L'un des principaux accélérateurs de ce processus fut, sans conteste, " l'affaire de Louvain " ou encore la crise du " Walen buiten " qui a débouché sur la scission de l'Université catholique de Louvain et le départ, en 1968, de sa section
francophone dans le Brabant wallon et l'agglomération bruxelloise.
Cet ouvrage montre que si l'idée d'une séparation s'est largement diffusée dans la seconde moitié des années soixante, elle était déjà mise en avant au début de la décennie. L'auteur nuance aussi la présentation manichéenne des acteurs en présence : il n'y avait pas,
un bloc flamand contre un bloc francophone mais aussi des membres flamands de l'université favorables au maintien à Louvain et, inversement, des francophones qui, dans une logique fédéraliste, prônaient le transfert en Wallonie. Enfin, il montre en quoi le conflit s'inscrit dans ce qu'on appelle parfois le " divorce belge ".