Hareng Couvre-chef et autres chansons de marins
Grand Format
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Konvalescens / Stockholm 1906
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- Nombre de pages115
- PrésentationBroché
- FormatAlbum
- Poids0.408 kg
- Dimensions20,6 cm × 28,1 cm × 0,8 cm
- ISBN978-2-39008-088-6
- EAN9782390080886
- Date de parution07/04/2023
- ÉditeurCinquième Couche (La)
- ContributeurTove Wallsten
Résumé
Autour de trois lettres de Lise Waterstone, sa fiancée disparue, le récit des errances romantiques du pianiste Graham Schalken à Stockholm, en 1906. Huit chapitres construisent une élégie retenue et amoureuse, portée par les dessins elliptiques de Christophe Poot et son trait laconique. La quatrième de couverture décrit l'ambiance : "Stockholm, 1906. J'ai choisi de jouer une pièce transcendante de Liszt, Bénédiction de Dieu dans la solitude.
Mon interprétation fît grande impression. La salle était fort sombre et on avait placé, en équilibre sur le piano, une bougie. Pendant que je jouais, elle tomba dans le ventre de l'instrument". Graham Schalken.
Mon interprétation fît grande impression. La salle était fort sombre et on avait placé, en équilibre sur le piano, une bougie. Pendant que je jouais, elle tomba dans le ventre de l'instrument". Graham Schalken.
Autour de trois lettres de Lise Waterstone, sa fiancée disparue, le récit des errances romantiques du pianiste Graham Schalken à Stockholm, en 1906. Huit chapitres construisent une élégie retenue et amoureuse, portée par les dessins elliptiques de Christophe Poot et son trait laconique. La quatrième de couverture décrit l'ambiance : "Stockholm, 1906. J'ai choisi de jouer une pièce transcendante de Liszt, Bénédiction de Dieu dans la solitude.
Mon interprétation fît grande impression. La salle était fort sombre et on avait placé, en équilibre sur le piano, une bougie. Pendant que je jouais, elle tomba dans le ventre de l'instrument". Graham Schalken.
Mon interprétation fît grande impression. La salle était fort sombre et on avait placé, en équilibre sur le piano, une bougie. Pendant que je jouais, elle tomba dans le ventre de l'instrument". Graham Schalken.
A propos de Christophe Poot