Keith Moon. La bombe humaine du rock

Par : Tony Fletcher

Formats :

    • Nombre de pages831
    • PrésentationBroché
    • Poids1.085 kg
    • Dimensions14,8 cm × 21,0 cm × 4,3 cm
    • ISBN978-2-35779-144-2
    • EAN9782357791442
    • Date de parution14/10/2011
    • ÉditeurCamion blanc
    • TraducteurDaniel Lesueur

    Résumé

    Heureusement pour lui, il était rapidement devenu célèbre, car simple quidam, on l'aurait fait enfermer. Incapable de devenir adulte, lunatique incandescent, il a révolutionné l'art de la batterie rock avec une totale désinvolture : les conventions, la technique, il s'en fichait. Il cognait comme un phénomène de foire. Mais c'est aussi comme un phénomène de foire qu'il a vécu, et l'a payé. Non sans humour d'ailleurs : ultime pied de nez à la société bien pensante, il est mort, à 32 ans, d'avoir voulu guérir de sa dépendance à l'alcool.
    Il avait mené sa vie tambour battant. En devenant le batteur des Who, Keith avait donné un sens à sa vie : lorsqu'il ne battait pas l'immesure derrière Pete Townshend, Roger Daltrey et John Entwistle, il n'existait plus. Alors, pour passer le temps, il se suicidait à petit feu. L'alcool tue lentement, dit-on. Mais combiné à la drogue et aux médocs, ça va rudement plus vite. Bienvenue dans la vie dingue de Keith Moon.
    Heureusement pour lui, il était rapidement devenu célèbre, car simple quidam, on l'aurait fait enfermer. Incapable de devenir adulte, lunatique incandescent, il a révolutionné l'art de la batterie rock avec une totale désinvolture : les conventions, la technique, il s'en fichait. Il cognait comme un phénomène de foire. Mais c'est aussi comme un phénomène de foire qu'il a vécu, et l'a payé. Non sans humour d'ailleurs : ultime pied de nez à la société bien pensante, il est mort, à 32 ans, d'avoir voulu guérir de sa dépendance à l'alcool.
    Il avait mené sa vie tambour battant. En devenant le batteur des Who, Keith avait donné un sens à sa vie : lorsqu'il ne battait pas l'immesure derrière Pete Townshend, Roger Daltrey et John Entwistle, il n'existait plus. Alors, pour passer le temps, il se suicidait à petit feu. L'alcool tue lentement, dit-on. Mais combiné à la drogue et aux médocs, ça va rudement plus vite. Bienvenue dans la vie dingue de Keith Moon.