K de culpabilité. Une étude du procès kafkaïen
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- Nombre de pages72
- PrésentationBroché
- Poids0.115 kg
- Dimensions14,5 cm × 20,8 cm × 0,5 cm
- ISBN978-2-35412-061-0
- EAN9782354120610
- Date de parution17/06/2010
- ÉditeurPU Perpignan
- PréfacierAlain Sériaux
Résumé
L'une des règles primordiales de notre droit contemporain est la présomption d'innocence dont la garantie par la société rend compte de la bonne santé de la Justice dispensée. Le postulat inverse fait lui état d'un mal-être, voire d'une absence de cette Justice. L'étude de l'oeuvre de Franz Kafka, Le Procès, permet, via une approche de la notion de culpabilité, de révéler une société gouvernée par l'arbitraire de ceux qui ont la tâche sacrée de dire le Droit, de faire que Justice soit rendue.
Josef K est la victime de ce système défaillant : comment prouver son innocence lorsque tout ce qui caractérise la culpabilité, la loi et par là la faute, est inconnu ? Autrement dit, quelles armes pour parer à l'arbitraire des juges ? Mais, loin de se contenter de faire de chaque prévenu une véritable victime de sa justice, le procès kafkaïen inverse non seulement le postulat d'innocence pour celui de culpabilité, mais également ferme toute voie de réintégration pour pousser à la marginalisation, faisant de cette société une société qui enfante des coupables.
Josef K est la victime de ce système défaillant : comment prouver son innocence lorsque tout ce qui caractérise la culpabilité, la loi et par là la faute, est inconnu ? Autrement dit, quelles armes pour parer à l'arbitraire des juges ? Mais, loin de se contenter de faire de chaque prévenu une véritable victime de sa justice, le procès kafkaïen inverse non seulement le postulat d'innocence pour celui de culpabilité, mais également ferme toute voie de réintégration pour pousser à la marginalisation, faisant de cette société une société qui enfante des coupables.
L'une des règles primordiales de notre droit contemporain est la présomption d'innocence dont la garantie par la société rend compte de la bonne santé de la Justice dispensée. Le postulat inverse fait lui état d'un mal-être, voire d'une absence de cette Justice. L'étude de l'oeuvre de Franz Kafka, Le Procès, permet, via une approche de la notion de culpabilité, de révéler une société gouvernée par l'arbitraire de ceux qui ont la tâche sacrée de dire le Droit, de faire que Justice soit rendue.
Josef K est la victime de ce système défaillant : comment prouver son innocence lorsque tout ce qui caractérise la culpabilité, la loi et par là la faute, est inconnu ? Autrement dit, quelles armes pour parer à l'arbitraire des juges ? Mais, loin de se contenter de faire de chaque prévenu une véritable victime de sa justice, le procès kafkaïen inverse non seulement le postulat d'innocence pour celui de culpabilité, mais également ferme toute voie de réintégration pour pousser à la marginalisation, faisant de cette société une société qui enfante des coupables.
Josef K est la victime de ce système défaillant : comment prouver son innocence lorsque tout ce qui caractérise la culpabilité, la loi et par là la faute, est inconnu ? Autrement dit, quelles armes pour parer à l'arbitraire des juges ? Mais, loin de se contenter de faire de chaque prévenu une véritable victime de sa justice, le procès kafkaïen inverse non seulement le postulat d'innocence pour celui de culpabilité, mais également ferme toute voie de réintégration pour pousser à la marginalisation, faisant de cette société une société qui enfante des coupables.