Junia. Une femme apôtre ressuscitée par l'exégèse
Par :Formats :
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages164
- PrésentationBroché
- Poids0.248 kg
- Dimensions14,8 cm × 22,7 cm × 1,4 cm
- ISBN978-2-8309-1508-2
- EAN9782830915082
- Date de parution24/09/2014
- CollectionLe monde de la bible
- ÉditeurLabor et Fides
- TraducteurGabrielle Rivier
- TraducteurJohn E. Jackson
Résumé
Le christianisme antique favorisait l'égalité des hommes et des femmes dans la propagation de l'Evangile. Si la tradition laisse entendre que seuls des hommes furent les apôtres de la première Eglise, certains passages bibliques indiquent le contraire. C'est le cas de la salutation finale de la Lettre aux Romains au chapitre 16 où Paul salue Junia, "apôtre éminente qui a appartenu au Christ avant lui".
Or, tout au long du XXe siècle, la critique textuelle a fait croire que Junia était un nom masculin et que, par conséquent, il n'était pas pensable qu'une femme fût dans le premier groupe des fondateurs de communautés. Le bibliste américain Eldon Jay Epp mène l'enquête sur ce cas d'école qui trahit une authentique imposture commise sur un texte antique au nom de calculs idéologiques plus ou moins conscients.
Cette démonstration permet dans le même temps de comprendre comment fonctionne la méthode historique appliquée à la Bible.
Or, tout au long du XXe siècle, la critique textuelle a fait croire que Junia était un nom masculin et que, par conséquent, il n'était pas pensable qu'une femme fût dans le premier groupe des fondateurs de communautés. Le bibliste américain Eldon Jay Epp mène l'enquête sur ce cas d'école qui trahit une authentique imposture commise sur un texte antique au nom de calculs idéologiques plus ou moins conscients.
Cette démonstration permet dans le même temps de comprendre comment fonctionne la méthode historique appliquée à la Bible.
Le christianisme antique favorisait l'égalité des hommes et des femmes dans la propagation de l'Evangile. Si la tradition laisse entendre que seuls des hommes furent les apôtres de la première Eglise, certains passages bibliques indiquent le contraire. C'est le cas de la salutation finale de la Lettre aux Romains au chapitre 16 où Paul salue Junia, "apôtre éminente qui a appartenu au Christ avant lui".
Or, tout au long du XXe siècle, la critique textuelle a fait croire que Junia était un nom masculin et que, par conséquent, il n'était pas pensable qu'une femme fût dans le premier groupe des fondateurs de communautés. Le bibliste américain Eldon Jay Epp mène l'enquête sur ce cas d'école qui trahit une authentique imposture commise sur un texte antique au nom de calculs idéologiques plus ou moins conscients.
Cette démonstration permet dans le même temps de comprendre comment fonctionne la méthode historique appliquée à la Bible.
Or, tout au long du XXe siècle, la critique textuelle a fait croire que Junia était un nom masculin et que, par conséquent, il n'était pas pensable qu'une femme fût dans le premier groupe des fondateurs de communautés. Le bibliste américain Eldon Jay Epp mène l'enquête sur ce cas d'école qui trahit une authentique imposture commise sur un texte antique au nom de calculs idéologiques plus ou moins conscients.
Cette démonstration permet dans le même temps de comprendre comment fonctionne la méthode historique appliquée à la Bible.