Journal du voyage autour du monde. A bord de l'Uranie 1817-1820

Par : Rose de Saulces de Freycinet

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  • Nombre de pages248
  • PrésentationBroché
  • Poids0.335 kg
  • Dimensions14,5 cm × 22,0 cm × 1,8 cm
  • ISBN2-914622-35-X
  • EAN9782914622356
  • Date de parution24/10/2003
  • ÉditeurGerfaut (Editions du)
  • AnnotateurCharles Duplomb

Résumé

Rose-Marie Pinon, âgée de 20 ans épouse le capitaine de frégate Louis de Saulces de Freycinet en 1814. Trois ans plus tard, Louis est désigné au commandement d'une navigation scientifique qui met à la voile en 1817 pour ne revenir qu'en 1820. Rose explique son dilemme : " J'avais à choisir entre mon affection et des préjugés qu'il me fallait braver avec la certitude d'être désapprouvée par une grande partie du monde. " Impasse - innocente ou volontaire ? - sur le règlement naval interdisant formellement l'embarquement des femmes à bord des vaisseaux de l'Etat. En 1822 parut le récit officiel du voyage autour du monde de l'Uranie. La narration de madame de Freycinet s'inscrit dans un tout autre registre et vaut par sa différence et sa complémentarité. Les " faibles lignes " dont elle s'accuse sont d'une lecture facile et agréable, mais riches d'une humanité qui fait parfois défaut aux journaux de bord conçus pour l'étude ou la publication spécialisée.
Rose-Marie Pinon, âgée de 20 ans épouse le capitaine de frégate Louis de Saulces de Freycinet en 1814. Trois ans plus tard, Louis est désigné au commandement d'une navigation scientifique qui met à la voile en 1817 pour ne revenir qu'en 1820. Rose explique son dilemme : " J'avais à choisir entre mon affection et des préjugés qu'il me fallait braver avec la certitude d'être désapprouvée par une grande partie du monde. " Impasse - innocente ou volontaire ? - sur le règlement naval interdisant formellement l'embarquement des femmes à bord des vaisseaux de l'Etat. En 1822 parut le récit officiel du voyage autour du monde de l'Uranie. La narration de madame de Freycinet s'inscrit dans un tout autre registre et vaut par sa différence et sa complémentarité. Les " faibles lignes " dont elle s'accuse sont d'une lecture facile et agréable, mais riches d'une humanité qui fait parfois défaut aux journaux de bord conçus pour l'étude ou la publication spécialisée.