Journal d'un sous-officier de bataillon thaï. Indochine 1953-1955

Par : Pierre Cesca

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  • Nombre de pages220
  • PrésentationBroché
  • Poids0.41 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,3 cm
  • ISBN978-2-7587-0088-3
  • EAN9782758700883
  • Date de parution07/05/2012
  • ÉditeurBernard Giovanangeli Editeur
  • PréfacierHenri Ortholan

Résumé

Ce récit est le journal de campagne d'un sous-officier des troupes coloniales, Pierre Cesca, qui fait la guerre d'Indochine comme cadre dans l'un des trois bataillons thaïs mis sur pied par le corps expéditionnaire français en Extrême-Orient. Arrivé en 1953, il est d'abord chef de groupe dans un commando, puis devient chef de section. Avec ses hommes, il opère au Tonkin, et même au Nord-Laos, au moment où l'armée française paraît jouer son va-tout en organisant le camp retranché de Diên Biên Phu.
Ce journal nous fait découvrir ce type d'unités, composées de volontaires qui se sont engagés pour combattre aux côtés des troupes françaises, illustrant ainsi l'attachement d'une importante partie de la communauté indochinoise à la France. Ce récit présente aussi un type de guerre peu spectaculaire mais redoutable, celui de la guérilla, fait de coups de main et d'embuscades. Il évoque enfin le climat qui règne au moment du cessez-le-feu, alors que les Français commencent à quitter l'Indochine avec tout ce que cela représente d'inconnu pour ces Thaïs.
Ce récit est le journal de campagne d'un sous-officier des troupes coloniales, Pierre Cesca, qui fait la guerre d'Indochine comme cadre dans l'un des trois bataillons thaïs mis sur pied par le corps expéditionnaire français en Extrême-Orient. Arrivé en 1953, il est d'abord chef de groupe dans un commando, puis devient chef de section. Avec ses hommes, il opère au Tonkin, et même au Nord-Laos, au moment où l'armée française paraît jouer son va-tout en organisant le camp retranché de Diên Biên Phu.
Ce journal nous fait découvrir ce type d'unités, composées de volontaires qui se sont engagés pour combattre aux côtés des troupes françaises, illustrant ainsi l'attachement d'une importante partie de la communauté indochinoise à la France. Ce récit présente aussi un type de guerre peu spectaculaire mais redoutable, celui de la guérilla, fait de coups de main et d'embuscades. Il évoque enfin le climat qui règne au moment du cessez-le-feu, alors que les Français commencent à quitter l'Indochine avec tout ce que cela représente d'inconnu pour ces Thaïs.