Johnny Hallyday. Jusqu'au bout avec Johnny...
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- Nombre de pages255
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.5 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 2,3 cm
- ISBN978-2-84891-113-7
- EAN9782848911137
- Date de parution26/10/2012
- CollectionCollection privée
- ÉditeurExclusif
Résumé
Monté sur scène à 17 ans, il sera toujours là, 1000 chansons plus tard, comme une valeur refuge dans une société sans repères. Pourtant, avec ses amours, ses ruptures, ses copains, ses chagrins, ses syncopes et son rapport vertigineux à l'argent, l'idole cache un coeur tendre. Une star, mais pas de roc. Né demi-belge, portant patronyme américain, Johnny Hallyday est une exception culturelle à lui tout seul.
L'ancien yé-yé passe, en France, pour être l'artiste de tous les records : Une bonne centaine de tubes, 110 millions de disques et de cassettes vendus, plus d'un millier de couvertures de magazines, 40 disques d'or. Il a été l'idole des teenagers, mais de droite, quand la jeunesse penchait à gauche. Il affichait des idées "courtes" quand les autres avaient des cheveux longs. Il fut anobli par Godard quand il jouait à Mad Max.
Il est sexy pour les uns, ringard pour les autres, goûteux et éternel comme le terroir et pourtant tout le monde l'aime. Depuis plus de 50 ans. Les événements, les modes, les blessures, les passions ont glissé sur lui. Les jeunes loups de la variété française s'étripaient pour lui écrire le tube du siècle. La critique intello consacrait l'acteur Hallyday dans L'Homme du train, le film de Patrice Leconte, les politiques le courtisaient, les sociologues l'auscultaient, les publicitaires l'affichaient.
Il est loin le temps où Mauriac s'indignait du "delirium tremens érotique" du rockeur. Cela fait trois générations que ses chansons tissent le journal intime du pays. Carlos, le chanteur, le pote de toutes les époques l'affirmait : Johnny, c'est le Victor Hugo de la rengaine. S'il meurt, la France s'arrête. De Raffarin à Laguiller, de Godard à Zidi, des myopes aux presbytes, tout le monde le clame, désormais : On a tous en nous quelque chose de Hallyday.
Mais quoi au juste ? Quand on lui posait la question, Johnny hochait la tête pensivement. Avec ses petites rides au coin des yeux, il avait la réponse à toutes les questions : Finalement, ça m'arrangeait bien qu'on me prenne pour un con...
L'ancien yé-yé passe, en France, pour être l'artiste de tous les records : Une bonne centaine de tubes, 110 millions de disques et de cassettes vendus, plus d'un millier de couvertures de magazines, 40 disques d'or. Il a été l'idole des teenagers, mais de droite, quand la jeunesse penchait à gauche. Il affichait des idées "courtes" quand les autres avaient des cheveux longs. Il fut anobli par Godard quand il jouait à Mad Max.
Il est sexy pour les uns, ringard pour les autres, goûteux et éternel comme le terroir et pourtant tout le monde l'aime. Depuis plus de 50 ans. Les événements, les modes, les blessures, les passions ont glissé sur lui. Les jeunes loups de la variété française s'étripaient pour lui écrire le tube du siècle. La critique intello consacrait l'acteur Hallyday dans L'Homme du train, le film de Patrice Leconte, les politiques le courtisaient, les sociologues l'auscultaient, les publicitaires l'affichaient.
Il est loin le temps où Mauriac s'indignait du "delirium tremens érotique" du rockeur. Cela fait trois générations que ses chansons tissent le journal intime du pays. Carlos, le chanteur, le pote de toutes les époques l'affirmait : Johnny, c'est le Victor Hugo de la rengaine. S'il meurt, la France s'arrête. De Raffarin à Laguiller, de Godard à Zidi, des myopes aux presbytes, tout le monde le clame, désormais : On a tous en nous quelque chose de Hallyday.
Mais quoi au juste ? Quand on lui posait la question, Johnny hochait la tête pensivement. Avec ses petites rides au coin des yeux, il avait la réponse à toutes les questions : Finalement, ça m'arrangeait bien qu'on me prenne pour un con...
Monté sur scène à 17 ans, il sera toujours là, 1000 chansons plus tard, comme une valeur refuge dans une société sans repères. Pourtant, avec ses amours, ses ruptures, ses copains, ses chagrins, ses syncopes et son rapport vertigineux à l'argent, l'idole cache un coeur tendre. Une star, mais pas de roc. Né demi-belge, portant patronyme américain, Johnny Hallyday est une exception culturelle à lui tout seul.
L'ancien yé-yé passe, en France, pour être l'artiste de tous les records : Une bonne centaine de tubes, 110 millions de disques et de cassettes vendus, plus d'un millier de couvertures de magazines, 40 disques d'or. Il a été l'idole des teenagers, mais de droite, quand la jeunesse penchait à gauche. Il affichait des idées "courtes" quand les autres avaient des cheveux longs. Il fut anobli par Godard quand il jouait à Mad Max.
Il est sexy pour les uns, ringard pour les autres, goûteux et éternel comme le terroir et pourtant tout le monde l'aime. Depuis plus de 50 ans. Les événements, les modes, les blessures, les passions ont glissé sur lui. Les jeunes loups de la variété française s'étripaient pour lui écrire le tube du siècle. La critique intello consacrait l'acteur Hallyday dans L'Homme du train, le film de Patrice Leconte, les politiques le courtisaient, les sociologues l'auscultaient, les publicitaires l'affichaient.
Il est loin le temps où Mauriac s'indignait du "delirium tremens érotique" du rockeur. Cela fait trois générations que ses chansons tissent le journal intime du pays. Carlos, le chanteur, le pote de toutes les époques l'affirmait : Johnny, c'est le Victor Hugo de la rengaine. S'il meurt, la France s'arrête. De Raffarin à Laguiller, de Godard à Zidi, des myopes aux presbytes, tout le monde le clame, désormais : On a tous en nous quelque chose de Hallyday.
Mais quoi au juste ? Quand on lui posait la question, Johnny hochait la tête pensivement. Avec ses petites rides au coin des yeux, il avait la réponse à toutes les questions : Finalement, ça m'arrangeait bien qu'on me prenne pour un con...
L'ancien yé-yé passe, en France, pour être l'artiste de tous les records : Une bonne centaine de tubes, 110 millions de disques et de cassettes vendus, plus d'un millier de couvertures de magazines, 40 disques d'or. Il a été l'idole des teenagers, mais de droite, quand la jeunesse penchait à gauche. Il affichait des idées "courtes" quand les autres avaient des cheveux longs. Il fut anobli par Godard quand il jouait à Mad Max.
Il est sexy pour les uns, ringard pour les autres, goûteux et éternel comme le terroir et pourtant tout le monde l'aime. Depuis plus de 50 ans. Les événements, les modes, les blessures, les passions ont glissé sur lui. Les jeunes loups de la variété française s'étripaient pour lui écrire le tube du siècle. La critique intello consacrait l'acteur Hallyday dans L'Homme du train, le film de Patrice Leconte, les politiques le courtisaient, les sociologues l'auscultaient, les publicitaires l'affichaient.
Il est loin le temps où Mauriac s'indignait du "delirium tremens érotique" du rockeur. Cela fait trois générations que ses chansons tissent le journal intime du pays. Carlos, le chanteur, le pote de toutes les époques l'affirmait : Johnny, c'est le Victor Hugo de la rengaine. S'il meurt, la France s'arrête. De Raffarin à Laguiller, de Godard à Zidi, des myopes aux presbytes, tout le monde le clame, désormais : On a tous en nous quelque chose de Hallyday.
Mais quoi au juste ? Quand on lui posait la question, Johnny hochait la tête pensivement. Avec ses petites rides au coin des yeux, il avait la réponse à toutes les questions : Finalement, ça m'arrangeait bien qu'on me prenne pour un con...