Johnny chien méchant d'Emmanuel Dongala

Par : Eloïse Brezault

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  • Nombre de pages120
  • PrésentationBroché
  • Poids0.12 kg
  • Dimensions11,9 cm × 17,9 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-88474-312-9
  • EAN9782884743129
  • Date de parution03/01/2013
  • CollectionLe cippe
  • ÉditeurInfolio

Résumé

Un très large public a été touché par le film tourné au Libéria par Jean-Stéphane Sauvaire, Johnny Mad Dog, sorti en 2008. Il est l’adaptation du roman de l'écrivain congolais Emmanuel Dongala, Johnny Chien Méchant, publié en 2002. Johnny chien méchant est le premier roman qu’Emmanuel Dongala écrit à partir de son exil américain dans le Connecticut. Dans cette oeuvre troublante sur la violence de la guerre civile congolaise des années 1990, l’écrivain, fidèle au « mentir-vrai » d’Aragon, revisite son pays par l’imagination.
Il construit un récit polyphonique où alternent les voix d’un enfant soldat et d’une jeune rescapée, témoins et acteurs d’un quotidien barbare vécu sous le feu des kalachnikovs. Dongala réussit le tour de force d’éviter tout manichéisme et montre l’ambiguïté d’un conflit dit ethnique, qui transforme les bourreaux en victimes, pour révéler au lecteur cette part d’humanité que l’horreur des conflits ne parvient à éradiquer totalement.
Un très large public a été touché par le film tourné au Libéria par Jean-Stéphane Sauvaire, Johnny Mad Dog, sorti en 2008. Il est l’adaptation du roman de l'écrivain congolais Emmanuel Dongala, Johnny Chien Méchant, publié en 2002. Johnny chien méchant est le premier roman qu’Emmanuel Dongala écrit à partir de son exil américain dans le Connecticut. Dans cette oeuvre troublante sur la violence de la guerre civile congolaise des années 1990, l’écrivain, fidèle au « mentir-vrai » d’Aragon, revisite son pays par l’imagination.
Il construit un récit polyphonique où alternent les voix d’un enfant soldat et d’une jeune rescapée, témoins et acteurs d’un quotidien barbare vécu sous le feu des kalachnikovs. Dongala réussit le tour de force d’éviter tout manichéisme et montre l’ambiguïté d’un conflit dit ethnique, qui transforme les bourreaux en victimes, pour révéler au lecteur cette part d’humanité que l’horreur des conflits ne parvient à éradiquer totalement.