Joe Hill. La création d'une contre-culture ouvrière et révolutionnaire aux Etats-Unis
Par :Formats :
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages600
- PrésentationBroché
- Poids0.81 kg
- Dimensions15,5 cm × 22,5 cm × 3,6 cm
- ISBN978-2-915731-34-7
- EAN9782915731347
- Date de parution22/05/2015
- ÉditeurCNT-Région parisienne
- TraducteurFrédéric Bureau
- PréfacierFred Alpi
Résumé
Immigré aux Etats-Unis, Joe Hill consacre sa vie à la lutte révolutionnaire pour le syndicat Industrial Workers of the World (IWW). Hobo, il va de grève en grève utilisant pour arme son talent de songwriter. Ses chansons deviennent des hymnes dans la classe prolétaire et incarnent très vite l'ensemble des IWW. En 1915, il est condamné à mort en Utah, suite à un coup monté pour lequel il est accusé de meurtre et d'un procès à charge où aucune preuve n'est établie.
Joe Hill devient alors un symbole de l'oppression capitaliste et étatique. De nombreux artistes vont chanter son destin parmi lesquels, pour les plus connus par le tout public : Joan Baez, Bruce Springsteen, Tom Morello (Rage against the machine)... Franklin Rosemont écrit ici la biographie référence de Joe Hill. Mais bien plus que l'histoire du songwriter, il balaye l'ensemble des pans de la culture populaire étatsunienne : racisme, féminisme, question indienne, religion, justice, écologie...
Nous faisant rencontrer nombre d'écrivains, de poètes et de dessinateurs, Rosemont remonte jusqu'aux années 70, tirant les fils de l'histoire de l'art populaire et prolétaire à travers le 20e siècle.
Joe Hill devient alors un symbole de l'oppression capitaliste et étatique. De nombreux artistes vont chanter son destin parmi lesquels, pour les plus connus par le tout public : Joan Baez, Bruce Springsteen, Tom Morello (Rage against the machine)... Franklin Rosemont écrit ici la biographie référence de Joe Hill. Mais bien plus que l'histoire du songwriter, il balaye l'ensemble des pans de la culture populaire étatsunienne : racisme, féminisme, question indienne, religion, justice, écologie...
Nous faisant rencontrer nombre d'écrivains, de poètes et de dessinateurs, Rosemont remonte jusqu'aux années 70, tirant les fils de l'histoire de l'art populaire et prolétaire à travers le 20e siècle.
Immigré aux Etats-Unis, Joe Hill consacre sa vie à la lutte révolutionnaire pour le syndicat Industrial Workers of the World (IWW). Hobo, il va de grève en grève utilisant pour arme son talent de songwriter. Ses chansons deviennent des hymnes dans la classe prolétaire et incarnent très vite l'ensemble des IWW. En 1915, il est condamné à mort en Utah, suite à un coup monté pour lequel il est accusé de meurtre et d'un procès à charge où aucune preuve n'est établie.
Joe Hill devient alors un symbole de l'oppression capitaliste et étatique. De nombreux artistes vont chanter son destin parmi lesquels, pour les plus connus par le tout public : Joan Baez, Bruce Springsteen, Tom Morello (Rage against the machine)... Franklin Rosemont écrit ici la biographie référence de Joe Hill. Mais bien plus que l'histoire du songwriter, il balaye l'ensemble des pans de la culture populaire étatsunienne : racisme, féminisme, question indienne, religion, justice, écologie...
Nous faisant rencontrer nombre d'écrivains, de poètes et de dessinateurs, Rosemont remonte jusqu'aux années 70, tirant les fils de l'histoire de l'art populaire et prolétaire à travers le 20e siècle.
Joe Hill devient alors un symbole de l'oppression capitaliste et étatique. De nombreux artistes vont chanter son destin parmi lesquels, pour les plus connus par le tout public : Joan Baez, Bruce Springsteen, Tom Morello (Rage against the machine)... Franklin Rosemont écrit ici la biographie référence de Joe Hill. Mais bien plus que l'histoire du songwriter, il balaye l'ensemble des pans de la culture populaire étatsunienne : racisme, féminisme, question indienne, religion, justice, écologie...
Nous faisant rencontrer nombre d'écrivains, de poètes et de dessinateurs, Rosemont remonte jusqu'aux années 70, tirant les fils de l'histoire de l'art populaire et prolétaire à travers le 20e siècle.