Jeanne d'Albret reine de Navarre et vicomtesse de Béarn. Lettres suivies d'une Ample Déclaration
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- Nombre de pages235
- PrésentationBroché
- Poids0.375 kg
- Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-7588-0023-1
- EAN9782758800231
- Date de parution01/04/2007
- ÉditeurAtlantica
Résumé
A l'aube du troisième conflit religieux, la reine de Navarre, Jeanne d'Albret, s'apprête à se jeter dans la bataille. Acculée par la pression des Valois et de l'Espagne catholique, elle a décidé de rejoindre les chefs protestants, Condé et Coligny, retranchés dans la ville sanctuaire de La Rochelle. Elle quitte ses Etats souverains, le Béarn et la Basse-Navarre, et se jette avec ses deux enfants, Henri et Catherine, dans un périple hallucinant.
Talonnée par Monluc, dans une Guyenne soulevée, la reine de Navarre réussit à franchir tous les obstacles. Sa décision est une prise d'armes contre l'autorité de Charles IX et de Catherine de Médicis. II lui faut expliquer ses agissements : au nom de son Dieu, de son roi et de son sang ! Au-delà du discours apologétique de son Ample Déclaration, Jeanne d'Albret nous fait découvrir, de 1560, année de sa conversion au calvinisme, à fin 1568, prélude à la troisième guerre civile, sa perception des relations politico-religieuses et nous fait vivre ses questionnements intérieurs.
Ce texte d'une portée historique sans pareille donne au lecteur la mesure de l'exercice du pouvoir, le plus souvent complexe et violent, mais aussi une vision des grands desseins qui s'organisent dans cette Europe de la deuxième moitié du XVIe siècle. Avec sa foi et sa conviction de l'intérêt supérieur de sa mission, cette femme hors du commun livre à notre jugement sa conception pacificatrice de l'organisation du monde temporel.
Talonnée par Monluc, dans une Guyenne soulevée, la reine de Navarre réussit à franchir tous les obstacles. Sa décision est une prise d'armes contre l'autorité de Charles IX et de Catherine de Médicis. II lui faut expliquer ses agissements : au nom de son Dieu, de son roi et de son sang ! Au-delà du discours apologétique de son Ample Déclaration, Jeanne d'Albret nous fait découvrir, de 1560, année de sa conversion au calvinisme, à fin 1568, prélude à la troisième guerre civile, sa perception des relations politico-religieuses et nous fait vivre ses questionnements intérieurs.
Ce texte d'une portée historique sans pareille donne au lecteur la mesure de l'exercice du pouvoir, le plus souvent complexe et violent, mais aussi une vision des grands desseins qui s'organisent dans cette Europe de la deuxième moitié du XVIe siècle. Avec sa foi et sa conviction de l'intérêt supérieur de sa mission, cette femme hors du commun livre à notre jugement sa conception pacificatrice de l'organisation du monde temporel.
A l'aube du troisième conflit religieux, la reine de Navarre, Jeanne d'Albret, s'apprête à se jeter dans la bataille. Acculée par la pression des Valois et de l'Espagne catholique, elle a décidé de rejoindre les chefs protestants, Condé et Coligny, retranchés dans la ville sanctuaire de La Rochelle. Elle quitte ses Etats souverains, le Béarn et la Basse-Navarre, et se jette avec ses deux enfants, Henri et Catherine, dans un périple hallucinant.
Talonnée par Monluc, dans une Guyenne soulevée, la reine de Navarre réussit à franchir tous les obstacles. Sa décision est une prise d'armes contre l'autorité de Charles IX et de Catherine de Médicis. II lui faut expliquer ses agissements : au nom de son Dieu, de son roi et de son sang ! Au-delà du discours apologétique de son Ample Déclaration, Jeanne d'Albret nous fait découvrir, de 1560, année de sa conversion au calvinisme, à fin 1568, prélude à la troisième guerre civile, sa perception des relations politico-religieuses et nous fait vivre ses questionnements intérieurs.
Ce texte d'une portée historique sans pareille donne au lecteur la mesure de l'exercice du pouvoir, le plus souvent complexe et violent, mais aussi une vision des grands desseins qui s'organisent dans cette Europe de la deuxième moitié du XVIe siècle. Avec sa foi et sa conviction de l'intérêt supérieur de sa mission, cette femme hors du commun livre à notre jugement sa conception pacificatrice de l'organisation du monde temporel.
Talonnée par Monluc, dans une Guyenne soulevée, la reine de Navarre réussit à franchir tous les obstacles. Sa décision est une prise d'armes contre l'autorité de Charles IX et de Catherine de Médicis. II lui faut expliquer ses agissements : au nom de son Dieu, de son roi et de son sang ! Au-delà du discours apologétique de son Ample Déclaration, Jeanne d'Albret nous fait découvrir, de 1560, année de sa conversion au calvinisme, à fin 1568, prélude à la troisième guerre civile, sa perception des relations politico-religieuses et nous fait vivre ses questionnements intérieurs.
Ce texte d'une portée historique sans pareille donne au lecteur la mesure de l'exercice du pouvoir, le plus souvent complexe et violent, mais aussi une vision des grands desseins qui s'organisent dans cette Europe de la deuxième moitié du XVIe siècle. Avec sa foi et sa conviction de l'intérêt supérieur de sa mission, cette femme hors du commun livre à notre jugement sa conception pacificatrice de l'organisation du monde temporel.