Jean-Michel Basquiat

Par : Paris Musées
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  • Nombre de pages195
  • PrésentationBroché
  • FormatBeau Livre
  • Poids1.44 kg
  • Dimensions24,6 cm × 30,5 cm × 2,2 cm
  • ISBN978-2-7596-0124-0
  • EAN9782759601240
  • Date de parution06/11/2010
  • ÉditeurParis Musées
  • TraducteurChristian Martin-Diepold
  • TraducteurLeïla Pellissier

Résumé

D’origine portoricaine et haïtienne, né en 1960 à Brooklyn il fait partie de la génération de graffiteurs qui a brusquement émergé à New York à la fin des années 1970. Sa fulgurante carrière démarre dans la rue en 1977. Dès le début des années 80, il passe au tableau. L’art conceptuel et l’art minimal étaient alors les courants dominants de l’esthétique avantgardiste américaine. Avec son univers mélangeant vaudou, religion, bande dessinée, publicité et héros afro-américains, il introduit une rupture et devient la vedette de la nouvelle peinture « néoexpressionniste ». Il définit alors une contre-culture urbaine, underground, violente et anarchique, pétrie de liberté et de vitalité. Ce réveil inattendu de la peinture revendiquant l’innocence et la spontanéité, l’absence délibérée de savoir-faire et l’usage brutal d’une figuration violemment expressive, s’opère aux États-Unis et en Europe au début des années 80. En 1982, il est invité à participer à la Documenta 7 de Kassel. L’année suivante, il est le plus jeune et premier artiste noir à exposer à la Biennale du Whitney Museum of American Art of New York. De mieux en mieux intégré au monde de l’art newyorkais, il réalise, à partir de 1984, des peintures en commun avec Andy Wharol. Après sa mort prématurée en 1988, il laisse une oeuvre considérable, habitée par la mort, le racisme et sa propre destinée. Sa vie brûlante et explosive, mêlant le star-système et la révolte a inspiré en 1996, le film Basquiat du peintre et cinéaste Julian Schnabel.
D’origine portoricaine et haïtienne, né en 1960 à Brooklyn il fait partie de la génération de graffiteurs qui a brusquement émergé à New York à la fin des années 1970. Sa fulgurante carrière démarre dans la rue en 1977. Dès le début des années 80, il passe au tableau. L’art conceptuel et l’art minimal étaient alors les courants dominants de l’esthétique avantgardiste américaine. Avec son univers mélangeant vaudou, religion, bande dessinée, publicité et héros afro-américains, il introduit une rupture et devient la vedette de la nouvelle peinture « néoexpressionniste ». Il définit alors une contre-culture urbaine, underground, violente et anarchique, pétrie de liberté et de vitalité. Ce réveil inattendu de la peinture revendiquant l’innocence et la spontanéité, l’absence délibérée de savoir-faire et l’usage brutal d’une figuration violemment expressive, s’opère aux États-Unis et en Europe au début des années 80. En 1982, il est invité à participer à la Documenta 7 de Kassel. L’année suivante, il est le plus jeune et premier artiste noir à exposer à la Biennale du Whitney Museum of American Art of New York. De mieux en mieux intégré au monde de l’art newyorkais, il réalise, à partir de 1984, des peintures en commun avec Andy Wharol. Après sa mort prématurée en 1988, il laisse une oeuvre considérable, habitée par la mort, le racisme et sa propre destinée. Sa vie brûlante et explosive, mêlant le star-système et la révolte a inspiré en 1996, le film Basquiat du peintre et cinéaste Julian Schnabel.