Jean Meckert, dit Jean Amila. Du roman prolétarien au roman noir contemporain
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- Nombre de pages351
- PrésentationBroché
- Poids0.575 kg
- Dimensions16,6 cm × 23,5 cm × 1,8 cm
- ISBN978-2-251-74247-2
- EAN9782251742472
- Date de parution14/03/2013
- Collectiontravaux
- ÉditeurBelles Lettres
Résumé
Jean Meckert (1910-1995) a commencé sa carrière littéraire en écrivant des romans prolétariens comme Les Coups (1941). Cette littérature, importante dans les années 30, n'est plus guère d'actualité après la guerre et ses romans ne connaissent qu'un succès d'estime. Marcel Duhamel, directeur de la Série noire, lui propose alors d'écrire des romans policiers inspirés des romans noirs américains. En 1950, sous le pseudonyme de John (Jean) Amila, il fait paraître Y'a pas de bon Dieu !, et devient une valeur sûre de la littérature policière en France, et ce jusqu'en 1985 avec son dernier roman, Au balcon d'Hiroshima.
En trente-cinq ans, il publie 21 titres qui s'inspirent des thèmes de la littérature prolétarienne qu'il a transposés au roman policier. Contemporain de Léo Malet et de Georges Simenon, il annonce le néo-polar qui arrive au début des années 70, avec Jean-Patrick Manchette, A D G, Jean Vautrin ou Pierre Siniac. Dans la décennie 80, des auteurs comme Frédéric H Fajardie, Thierry Jonquet ou Jean-Bernard Pouy, ou plus tard Patrick Pécherot, suivent la voie ouverte par Jean Amila.
Parmi eux, Didier Daeninckx revendique son héritage et contribue à le faire redécouvrir. Ainsi, il retrouve sa place dans la littérature contemporaine auprès d'écrivains qui observent la société française en crise, comme lui explorait les milieux ouvriers autrefois.
En trente-cinq ans, il publie 21 titres qui s'inspirent des thèmes de la littérature prolétarienne qu'il a transposés au roman policier. Contemporain de Léo Malet et de Georges Simenon, il annonce le néo-polar qui arrive au début des années 70, avec Jean-Patrick Manchette, A D G, Jean Vautrin ou Pierre Siniac. Dans la décennie 80, des auteurs comme Frédéric H Fajardie, Thierry Jonquet ou Jean-Bernard Pouy, ou plus tard Patrick Pécherot, suivent la voie ouverte par Jean Amila.
Parmi eux, Didier Daeninckx revendique son héritage et contribue à le faire redécouvrir. Ainsi, il retrouve sa place dans la littérature contemporaine auprès d'écrivains qui observent la société française en crise, comme lui explorait les milieux ouvriers autrefois.
Jean Meckert (1910-1995) a commencé sa carrière littéraire en écrivant des romans prolétariens comme Les Coups (1941). Cette littérature, importante dans les années 30, n'est plus guère d'actualité après la guerre et ses romans ne connaissent qu'un succès d'estime. Marcel Duhamel, directeur de la Série noire, lui propose alors d'écrire des romans policiers inspirés des romans noirs américains. En 1950, sous le pseudonyme de John (Jean) Amila, il fait paraître Y'a pas de bon Dieu !, et devient une valeur sûre de la littérature policière en France, et ce jusqu'en 1985 avec son dernier roman, Au balcon d'Hiroshima.
En trente-cinq ans, il publie 21 titres qui s'inspirent des thèmes de la littérature prolétarienne qu'il a transposés au roman policier. Contemporain de Léo Malet et de Georges Simenon, il annonce le néo-polar qui arrive au début des années 70, avec Jean-Patrick Manchette, A D G, Jean Vautrin ou Pierre Siniac. Dans la décennie 80, des auteurs comme Frédéric H Fajardie, Thierry Jonquet ou Jean-Bernard Pouy, ou plus tard Patrick Pécherot, suivent la voie ouverte par Jean Amila.
Parmi eux, Didier Daeninckx revendique son héritage et contribue à le faire redécouvrir. Ainsi, il retrouve sa place dans la littérature contemporaine auprès d'écrivains qui observent la société française en crise, comme lui explorait les milieux ouvriers autrefois.
En trente-cinq ans, il publie 21 titres qui s'inspirent des thèmes de la littérature prolétarienne qu'il a transposés au roman policier. Contemporain de Léo Malet et de Georges Simenon, il annonce le néo-polar qui arrive au début des années 70, avec Jean-Patrick Manchette, A D G, Jean Vautrin ou Pierre Siniac. Dans la décennie 80, des auteurs comme Frédéric H Fajardie, Thierry Jonquet ou Jean-Bernard Pouy, ou plus tard Patrick Pécherot, suivent la voie ouverte par Jean Amila.
Parmi eux, Didier Daeninckx revendique son héritage et contribue à le faire redécouvrir. Ainsi, il retrouve sa place dans la littérature contemporaine auprès d'écrivains qui observent la société française en crise, comme lui explorait les milieux ouvriers autrefois.