Jean Lecour de Grandmaison, un homme dans l'action et la contemplation. Itinéraire spirituel à travers ses écrits et sa vie retracé par sa fille
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- Nombre de pages404
- PrésentationBroché
- Poids0.55 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 0,3 cm
- ISBN2-7010-1009-8
- EAN9782701010090
- Date de parution01/01/1980
- ÉditeurBeauchesne (éditions)
Résumé
A l'heure où le Pape nous presse de retrouver le rapport action-contemplation, à l'heure où le Concile invite les laïcs à prendre hardiment leur place dans l'Église, à l'heure où les chrétiens ont tant de mal à trouver l'équilibre de leur vie spirituelle et à intégrer celle-ci dans l'existence survoltée de notre époque, le témoignage de Jean le Cour Grandmaison est particulièrement actuel.
C'est celui d'une authentique vie contemplative chez un laïc de notre temps, engagé sur le plan familial, politique, social et religieux.
Officier de marine, député de Loire-Atlantique, responsable national et international d'Action Catholique, Jean le Cour Grandmaison se retira après la mort de sa femme à l'ombre de l'abbaye bénédictine de Kergonan où il s'éteignit en 1974. Son secret, son mystère, c'était un dialogue permanent avec Dieu que nous révèlent sa correspondance familiale et ses carnets de retraite. Cet homme, dont la stature impressionnait tous ceux qui l'approchaient, était en face de Dieu un enfant totalement attentif aux moindres signes de la Providence, c'est ce qui faisait L'unité de sa vie.
Alors que tant d'hommes tâtonnent dans la recherche d'une synthèse de l'action et de la contemplation, Jean Le Cour Grandmaison nous redit après Thérèse de Lisieux : « Je choisis tout». Extrait de la préface du R. P. GUINCHAT Curé de Saint-Louis d'Antin.
Officier de marine, député de Loire-Atlantique, responsable national et international d'Action Catholique, Jean le Cour Grandmaison se retira après la mort de sa femme à l'ombre de l'abbaye bénédictine de Kergonan où il s'éteignit en 1974. Son secret, son mystère, c'était un dialogue permanent avec Dieu que nous révèlent sa correspondance familiale et ses carnets de retraite. Cet homme, dont la stature impressionnait tous ceux qui l'approchaient, était en face de Dieu un enfant totalement attentif aux moindres signes de la Providence, c'est ce qui faisait L'unité de sa vie.
Alors que tant d'hommes tâtonnent dans la recherche d'une synthèse de l'action et de la contemplation, Jean Le Cour Grandmaison nous redit après Thérèse de Lisieux : « Je choisis tout». Extrait de la préface du R. P. GUINCHAT Curé de Saint-Louis d'Antin.
A l'heure où le Pape nous presse de retrouver le rapport action-contemplation, à l'heure où le Concile invite les laïcs à prendre hardiment leur place dans l'Église, à l'heure où les chrétiens ont tant de mal à trouver l'équilibre de leur vie spirituelle et à intégrer celle-ci dans l'existence survoltée de notre époque, le témoignage de Jean le Cour Grandmaison est particulièrement actuel.
C'est celui d'une authentique vie contemplative chez un laïc de notre temps, engagé sur le plan familial, politique, social et religieux.
Officier de marine, député de Loire-Atlantique, responsable national et international d'Action Catholique, Jean le Cour Grandmaison se retira après la mort de sa femme à l'ombre de l'abbaye bénédictine de Kergonan où il s'éteignit en 1974. Son secret, son mystère, c'était un dialogue permanent avec Dieu que nous révèlent sa correspondance familiale et ses carnets de retraite. Cet homme, dont la stature impressionnait tous ceux qui l'approchaient, était en face de Dieu un enfant totalement attentif aux moindres signes de la Providence, c'est ce qui faisait L'unité de sa vie.
Alors que tant d'hommes tâtonnent dans la recherche d'une synthèse de l'action et de la contemplation, Jean Le Cour Grandmaison nous redit après Thérèse de Lisieux : « Je choisis tout». Extrait de la préface du R. P. GUINCHAT Curé de Saint-Louis d'Antin.
Officier de marine, député de Loire-Atlantique, responsable national et international d'Action Catholique, Jean le Cour Grandmaison se retira après la mort de sa femme à l'ombre de l'abbaye bénédictine de Kergonan où il s'éteignit en 1974. Son secret, son mystère, c'était un dialogue permanent avec Dieu que nous révèlent sa correspondance familiale et ses carnets de retraite. Cet homme, dont la stature impressionnait tous ceux qui l'approchaient, était en face de Dieu un enfant totalement attentif aux moindres signes de la Providence, c'est ce qui faisait L'unité de sa vie.
Alors que tant d'hommes tâtonnent dans la recherche d'une synthèse de l'action et de la contemplation, Jean Le Cour Grandmaison nous redit après Thérèse de Lisieux : « Je choisis tout». Extrait de la préface du R. P. GUINCHAT Curé de Saint-Louis d'Antin.