Jean Le Moyne, Une Parole Vehemente
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- Nombre de pages240
- PrésentationBroché
- Poids0.32 kg
- Dimensions14,5 cm × 22,6 cm × 1,3 cm
- ISBN2-7621-2020-9
- EAN9782762120202
- Date de parution28/11/1998
- ÉditeurFides (Editions)
Résumé
En 1961, paraissait à Montréal un livre intitulé Convergences, qui allait révéler au grand public un essayiste de première grandeur, et qui vaudra à son auteur, Jean Le Moyne, presque tous les prix littéraires alors offerts au Canada, le Prix du Gouverneur général, le Prix David et le Prix France-Canada. Il recevra également, quelques années plus tard, le Prix Molson. Jean Le Moyne avait été, dans sa jeunesse, l'ami du poète Saint-Denys Garneau, avec qui il avait échangé une abondante correspondance, et il avait collaboré à la revue La Relève. Il fera, par la suite, carrière dans le journalisme, puis à l'Office national du film, où il signera de très beaux commentaires de films, enfin au bureau du premier ministre du Canada, Pierre Elliott Trudeau, avant d'être nommé sénateur.
De Convergences, et des lettres qu'elle a reçues de Jean Le Moyne, Anne Hébert écrit: " Tant de bonheur d'écriture, d'humour, d'ardente poésie pour dire la vie, tenter de dire toute la vie, à voix haute, en joie ou en colère, se refusant parfois, puis se donnant soudain dans l'extrême tension d'une conscience toujours en alerte. "
Le présent ouvrage comprend, dans sa première partie, des hommages et souvenirs qui soulignent la rare qualité de l'ami, du penseur, de l'écrivain. On retrouve, dans ces souvenirs, la grande diversité des intérêts de Jean Le Moyne : la théologie aussi bien que la littérature (il relisait Rabelais et Proust chaque année), la mécanologie (science des machines) et la musique. Cette diversité - mais assumée par un propos fortement unitaire, d'inspiration religieuse, et portée par un style somptueux - se retrouve également dans les textes que réunit la deuxième partie de l'ouvrage. C'est la première fois, depuis la parution de Convergences (réédité dans la collection du Nénuphar en 1992), qu'un tel ensemble de textes de Jean Le Moyne est offert à la lecture.
En 1961, paraissait à Montréal un livre intitulé Convergences, qui allait révéler au grand public un essayiste de première grandeur, et qui vaudra à son auteur, Jean Le Moyne, presque tous les prix littéraires alors offerts au Canada, le Prix du Gouverneur général, le Prix David et le Prix France-Canada. Il recevra également, quelques années plus tard, le Prix Molson. Jean Le Moyne avait été, dans sa jeunesse, l'ami du poète Saint-Denys Garneau, avec qui il avait échangé une abondante correspondance, et il avait collaboré à la revue La Relève. Il fera, par la suite, carrière dans le journalisme, puis à l'Office national du film, où il signera de très beaux commentaires de films, enfin au bureau du premier ministre du Canada, Pierre Elliott Trudeau, avant d'être nommé sénateur.
De Convergences, et des lettres qu'elle a reçues de Jean Le Moyne, Anne Hébert écrit: " Tant de bonheur d'écriture, d'humour, d'ardente poésie pour dire la vie, tenter de dire toute la vie, à voix haute, en joie ou en colère, se refusant parfois, puis se donnant soudain dans l'extrême tension d'une conscience toujours en alerte. "
Le présent ouvrage comprend, dans sa première partie, des hommages et souvenirs qui soulignent la rare qualité de l'ami, du penseur, de l'écrivain. On retrouve, dans ces souvenirs, la grande diversité des intérêts de Jean Le Moyne : la théologie aussi bien que la littérature (il relisait Rabelais et Proust chaque année), la mécanologie (science des machines) et la musique. Cette diversité - mais assumée par un propos fortement unitaire, d'inspiration religieuse, et portée par un style somptueux - se retrouve également dans les textes que réunit la deuxième partie de l'ouvrage. C'est la première fois, depuis la parution de Convergences (réédité dans la collection du Nénuphar en 1992), qu'un tel ensemble de textes de Jean Le Moyne est offert à la lecture.