Jean-Jacques Rousseau. La cité et les choses

Par : Denis Faïck

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages228
  • PrésentationBroché
  • Poids0.358 kg
  • Dimensions15,0 cm × 24,0 cm × 1,8 cm
  • ISBN978-2-7089-6943-8
  • EAN9782708969438
  • Date de parution23/02/2012
  • ÉditeurPrivat

Résumé

Les contradictions dans l'oeuvre de Rousseau semblent indépassables, a priori. Comment peut-on prétendre alors proposer une unité ? En affirmant une bipolarité, une division binaire de sa pensée, mais en soutenant qu'elle est provisoire. Un seul pôle, en effet, a une valeur positive, l'autre n'étant que par défaut. En l'absence d'une cité authentique où évolue le citoyen idéal, en l'absence d'un monde où seules les choses ont une valeur, Rousseau se réfugie dans la solitude pour imaginer le monde auquel il aspire.
Ainsi, l'isolement, le désir et l'imagination n'auraient aucune pertinence dans le monde d'une citoyenneté véritable. Un seul credo pour Rousseau : la cité et les choses.
Les contradictions dans l'oeuvre de Rousseau semblent indépassables, a priori. Comment peut-on prétendre alors proposer une unité ? En affirmant une bipolarité, une division binaire de sa pensée, mais en soutenant qu'elle est provisoire. Un seul pôle, en effet, a une valeur positive, l'autre n'étant que par défaut. En l'absence d'une cité authentique où évolue le citoyen idéal, en l'absence d'un monde où seules les choses ont une valeur, Rousseau se réfugie dans la solitude pour imaginer le monde auquel il aspire.
Ainsi, l'isolement, le désir et l'imagination n'auraient aucune pertinence dans le monde d'une citoyenneté véritable. Un seul credo pour Rousseau : la cité et les choses.