Je viens d'ailleurs

Par : Chahdortt Djavann
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  • Nombre de pages114
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.165 kg
  • Dimensions14,6 cm × 22,3 cm × 0,9 cm
  • ISBN2-7467-0182-0
  • EAN9782746701823
  • Date de parution07/05/2004
  • CollectionLittératures
  • ÉditeurAutrement (Editions)

Résumé

" - Dans cinq minutes, la porte sera fermée et celles qui seront dehors y resteront à jamais. Dans la cour c'est l'affolement. Nous courons vers la sortie. [...] Quelques hommes du comité sautent par-dessus la barrière qui sépare la cour du lycée de la nôtre. Ils nous repoussent avec les kalachnikovs. L'un d'eux tire une rafale en pointant son arme vers le ciel. Tout le monde recule. C'est la bousculade. Les hommes du comité se déploient, avancent et nous refoulent vers le perron de l'entrée et la porte du bâtiment. Nous tombons les unes sur les autres, beaucoup se font piétiner sur les marches du perron. Ça se passe très vite. Nous sommes déjà à l'intérieur. Les cris ne cessent pas. Le désordre est à son comble. Quelques filles, blessées ou choquées, sont étendues dans le couloir. Les surveillantes ne savent que faire. Au bout d'une demi-heure, les gens du comité ont disparu. Le dernier cours est annulé. On nous laisse partir. Dans la rue, le calme est revenu. "
" - Dans cinq minutes, la porte sera fermée et celles qui seront dehors y resteront à jamais. Dans la cour c'est l'affolement. Nous courons vers la sortie. [...] Quelques hommes du comité sautent par-dessus la barrière qui sépare la cour du lycée de la nôtre. Ils nous repoussent avec les kalachnikovs. L'un d'eux tire une rafale en pointant son arme vers le ciel. Tout le monde recule. C'est la bousculade. Les hommes du comité se déploient, avancent et nous refoulent vers le perron de l'entrée et la porte du bâtiment. Nous tombons les unes sur les autres, beaucoup se font piétiner sur les marches du perron. Ça se passe très vite. Nous sommes déjà à l'intérieur. Les cris ne cessent pas. Le désordre est à son comble. Quelques filles, blessées ou choquées, sont étendues dans le couloir. Les surveillantes ne savent que faire. Au bout d'une demi-heure, les gens du comité ont disparu. Le dernier cours est annulé. On nous laisse partir. Dans la rue, le calme est revenu. "
Et ces êtres sans pénis !
Chahdortt Djavann
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