Je t'aime à l'infini
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- Nombre de pages128
- PrésentationBroché
- Poids0.54 kg
- Dimensions20,1 cm × 25,0 cm × 1,2 cm
- ISBN978-2-36409-030-9
- EAN9782364090309
- Date de parution16/11/2012
- ÉditeurLe Gac Press
Résumé
Un regard sur la peinture d’Axel Pahlavi nous permet d’effectuer un arrêt salvateur sur l’accélération du temps actuel. Chacun, fort de son expérience, reconnaîtra ses héros, reconstituera une histoire grandiose ou frivole. Nous percevrons des relents de films d’horreur, Francis Bacon, ou les deux ; nous nous émerveillerons de voir Albator, cotoyer des clowns remémorer autant Pogo que Ça ou Cindy Sherman ; et à Manet et Dürer, répondre à Cronenberg et la géopolitique.
L’artiste utilise la toile peinte comme surface de projection de nos imaginations plus ou moins familières. L’ouvrage est divisé en deux parties. La première est conçue comme une exposition avec des doubles pages qui jouent le rôle de cimaises. La seconde, imprimées sur du papier offset, laisse place à la réflexion via les textes d’Eric Corne et Benjamin Bianciotto.
L’artiste utilise la toile peinte comme surface de projection de nos imaginations plus ou moins familières. L’ouvrage est divisé en deux parties. La première est conçue comme une exposition avec des doubles pages qui jouent le rôle de cimaises. La seconde, imprimées sur du papier offset, laisse place à la réflexion via les textes d’Eric Corne et Benjamin Bianciotto.
Un regard sur la peinture d’Axel Pahlavi nous permet d’effectuer un arrêt salvateur sur l’accélération du temps actuel. Chacun, fort de son expérience, reconnaîtra ses héros, reconstituera une histoire grandiose ou frivole. Nous percevrons des relents de films d’horreur, Francis Bacon, ou les deux ; nous nous émerveillerons de voir Albator, cotoyer des clowns remémorer autant Pogo que Ça ou Cindy Sherman ; et à Manet et Dürer, répondre à Cronenberg et la géopolitique.
L’artiste utilise la toile peinte comme surface de projection de nos imaginations plus ou moins familières. L’ouvrage est divisé en deux parties. La première est conçue comme une exposition avec des doubles pages qui jouent le rôle de cimaises. La seconde, imprimées sur du papier offset, laisse place à la réflexion via les textes d’Eric Corne et Benjamin Bianciotto.
L’artiste utilise la toile peinte comme surface de projection de nos imaginations plus ou moins familières. L’ouvrage est divisé en deux parties. La première est conçue comme une exposition avec des doubles pages qui jouent le rôle de cimaises. La seconde, imprimées sur du papier offset, laisse place à la réflexion via les textes d’Eric Corne et Benjamin Bianciotto.