Je suis Juan de Pareja. Né esclave à Séville, élève en secret de Velàzquez, peintre malgré tout

Par : Elizabeth Borton De Trevino

Formats :

Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages330
  • PrésentationBroché
  • Poids0.33 kg
  • Dimensions12,7 cm × 19,0 cm × 2,6 cm
  • ISBN2-211-09102-4
  • EAN9782211091022
  • Date de parution25/03/2001
  • CollectionMédium
  • ÉditeurEcole des Loisirs (L')

Résumé

Quand il rencontre Don Diego, à Madrid, vers 1625, Juan de Pareja a déjà appris beaucoup de choses de sa courte vie d'esclave noir. Il a vu des gens mourir de la peste, et il a eu à se méfier d'autres qui se disaient compatissants. Il a appris à lire et à ne pas s'attirer les foudres de ces maîtres. Avec Don Diego, qui est le grand peintre Velázquez, il va voir s'ouvrir devant lui un champ bien plus vaste de connaissances. Son nouveau maître, en effet, lui apprend comment regarder, mais le blesse en refusant de lui enseigner son art. C'est que les esclaves n'ont pas le droit de peindre. Pour la première fois, Juan, qui n'est pas un rebelle, désobéit, agit en secret, parce qu'il ne peut s'en empêcher. Il découvre que l'art doit être vrai, que c'est " la seule chose de la vie qui doive reposer sur la plus solide vérité, parce que, sinon, il ne sert à rien. " Il apprend les règles de la lumière, et à capter, dans les portraits, les âmes emprisonnées. Aux côtés de Velázquez, il parcourt l'Italie et l'Espagne, rencontre Rubens et une jeune femme révoltée qui sait l'avenir...
Quand il rencontre Don Diego, à Madrid, vers 1625, Juan de Pareja a déjà appris beaucoup de choses de sa courte vie d'esclave noir. Il a vu des gens mourir de la peste, et il a eu à se méfier d'autres qui se disaient compatissants. Il a appris à lire et à ne pas s'attirer les foudres de ces maîtres. Avec Don Diego, qui est le grand peintre Velázquez, il va voir s'ouvrir devant lui un champ bien plus vaste de connaissances. Son nouveau maître, en effet, lui apprend comment regarder, mais le blesse en refusant de lui enseigner son art. C'est que les esclaves n'ont pas le droit de peindre. Pour la première fois, Juan, qui n'est pas un rebelle, désobéit, agit en secret, parce qu'il ne peut s'en empêcher. Il découvre que l'art doit être vrai, que c'est " la seule chose de la vie qui doive reposer sur la plus solide vérité, parce que, sinon, il ne sert à rien. " Il apprend les règles de la lumière, et à capter, dans les portraits, les âmes emprisonnées. Aux côtés de Velázquez, il parcourt l'Italie et l'Espagne, rencontre Rubens et une jeune femme révoltée qui sait l'avenir...