Je scribe le crabe !. ... &, ici-là, comment... Le kroniker en varde du Tohol !
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- Nombre de pages127
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.17 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,3 cm × 0,7 cm
- ISBN978-2-343-15062-8
- EAN9782343150628
- Date de parution30/05/2018
- CollectionLevée d'ancre
- ÉditeurL'Harmattan
- ContributeurBenoît Robinet
- ContributeurMarion Robinet
- PréfacierMichel Cassir
- PréfacierChristian Cavaillé
Résumé
Alain Robinet, poète de long souffle et de haute fidélité au sens de l'humain, nous donne son dernier grand texte, hélas posthume. Créateur - écrivain et plasticien —- inlassable, il nous tient en haleine dans l'amour et la turbulence des mots. Je scribe le crabe : élans-élancements du langage à vif et à l'aeuvre sans fin où reviennent la respiration à l'air libre malgré tout, l'élan désireux-amoureux, le refus de l'état des choses et des compromissions ; et toujours la jubilation des mots emportés au-delà d'eux-mêmes : "& si j'écris encore, c'est encore c pour dire + + non ! ...
Contre cette globalité si effarée, si métastasée ! ... Contre l'humanité si incarcérée, si calcinée, si augmentée, dit-on, dit-on & si appliquée à se tuer, à s'écociter ! Contre cette humanité-ci si strangulée, garottée d'être ubérisée & si hallucinée, si désarticulée jusqu'à ses langues." Michel Cassir et Christian Cavaillé.
Contre cette globalité si effarée, si métastasée ! ... Contre l'humanité si incarcérée, si calcinée, si augmentée, dit-on, dit-on & si appliquée à se tuer, à s'écociter ! Contre cette humanité-ci si strangulée, garottée d'être ubérisée & si hallucinée, si désarticulée jusqu'à ses langues." Michel Cassir et Christian Cavaillé.
Alain Robinet, poète de long souffle et de haute fidélité au sens de l'humain, nous donne son dernier grand texte, hélas posthume. Créateur - écrivain et plasticien —- inlassable, il nous tient en haleine dans l'amour et la turbulence des mots. Je scribe le crabe : élans-élancements du langage à vif et à l'aeuvre sans fin où reviennent la respiration à l'air libre malgré tout, l'élan désireux-amoureux, le refus de l'état des choses et des compromissions ; et toujours la jubilation des mots emportés au-delà d'eux-mêmes : "& si j'écris encore, c'est encore c pour dire + + non ! ...
Contre cette globalité si effarée, si métastasée ! ... Contre l'humanité si incarcérée, si calcinée, si augmentée, dit-on, dit-on & si appliquée à se tuer, à s'écociter ! Contre cette humanité-ci si strangulée, garottée d'être ubérisée & si hallucinée, si désarticulée jusqu'à ses langues." Michel Cassir et Christian Cavaillé.
Contre cette globalité si effarée, si métastasée ! ... Contre l'humanité si incarcérée, si calcinée, si augmentée, dit-on, dit-on & si appliquée à se tuer, à s'écociter ! Contre cette humanité-ci si strangulée, garottée d'être ubérisée & si hallucinée, si désarticulée jusqu'à ses langues." Michel Cassir et Christian Cavaillé.