Je nous trouve beaux - Occasion

Par : Cyril Montana

Disponible d'occasion :Article d'occasion contrôlé par nos équipes

    • Nombre de pages200
    • PrésentationBroché
    • FormatGrand Format
    • Poids0.262 kg
    • Dimensions14,0 cm × 20,7 cm × 1,8 cm
    • ISBN978-2-226-24524-3
    • EAN9782226245243
    • Date de parution30/01/2013
    • ÉditeurAlbin Michel

    Résumé

    On peut avoir quarante ans, une femme, deux enfants, un métier et se conduire comme un ado plus que border line. Surtout quand on a été élevé par des parents soixante-huitards, qu'on vient de perdre sa grand-mère adorée et que son propre fils vient de fuguer. Je nous trouve beaux est le portrait drôle et tendre d'un quadra qui a autant peur de vieillir que de ne pas être à la hauteur de ses responsabilités de père au sein d'une famille recomposée.
    Et qui est prêt à tout pour s'en libérer.
    On peut avoir quarante ans, une femme, deux enfants, un métier et se conduire comme un ado plus que border line. Surtout quand on a été élevé par des parents soixante-huitards, qu'on vient de perdre sa grand-mère adorée et que son propre fils vient de fuguer. Je nous trouve beaux est le portrait drôle et tendre d'un quadra qui a autant peur de vieillir que de ne pas être à la hauteur de ses responsabilités de père au sein d'une famille recomposée.
    Et qui est prêt à tout pour s'en libérer.

    Avis des lecteurs
    Commentaires laissés par nos lecteurs

    2.3/5
    sur 3 notes dont 2 avis lecteurs
    Pas moi
    Je nous trouve beaux...personnellement, je ne le trouve pas très beau ce quadragénaire qui, peut-être par peur de vieillir mais surtout parce qu'il est un homme avec un petit h ( genre singe, c'est lui qui le dit), se laisse aller vers des aventures adultères, des légèretés au niveau de son travail d'agent immobilier, des expériences particulières avec ses amis (comme l'infiltration d'une loge de franc-maçons). Je le trouve plutôt attachant quand il est fier de son rôle de père. Tendre et compréhensif avec Claire, quatre ans, la fille qu'il a eu avec sa seconde épouse ou avec l'adolescent Jules, enfant de son premier mariage. "C'est vrai que de se retrouver les pieds en l'air, sous une couette nez à nez avec une petite fille au regard pétillant, éclairée par une veilleuse "Babarpapa", qui vous raconte des histoires de papillon, de médailles de mariage et d'autres incompréhensibles de pain d'épice, ça vous transporte. C'est un autre monde, c'est magique. Il faut le vivre pour comprendre." Il peut-être touchant au chevet de sa grand-mère, prêt à tout pour l'accompagner une dernière fois vers la paix. " On revient souvent sur les mêmes lieux, mais dans des situations différentes, les paysages, les pierres et les choses ne bougent pas, mais nous si." Mais alors, pourquoi vouloir salir cette image en nous infligeant des chapitres scabreux voire inutiles au milieu de scènes plutôt sympathiques. Sûrement pour illustrer que la vie d'un homme de quarante ans, c'est famille, boulot mais aussi ( et surtout) tentations ( je reste sobre). De même, l'auteur utilise des mots soutenus au milieu d'un style parlé assez pauvre. Beaucoup d'ambiguïtés chez Grangier, le narrateur et chez l'auteur. Certains aimeront l'ironie, la modernité, l'auto-dérision. Personnellement, je ne trouve que peu d'intérêt au style et au récit.
    Je nous trouve beaux...personnellement, je ne le trouve pas très beau ce quadragénaire qui, peut-être par peur de vieillir mais surtout parce qu'il est un homme avec un petit h ( genre singe, c'est lui qui le dit), se laisse aller vers des aventures adultères, des légèretés au niveau de son travail d'agent immobilier, des expériences particulières avec ses amis (comme l'infiltration d'une loge de franc-maçons). Je le trouve plutôt attachant quand il est fier de son rôle de père. Tendre et compréhensif avec Claire, quatre ans, la fille qu'il a eu avec sa seconde épouse ou avec l'adolescent Jules, enfant de son premier mariage. "C'est vrai que de se retrouver les pieds en l'air, sous une couette nez à nez avec une petite fille au regard pétillant, éclairée par une veilleuse "Babarpapa", qui vous raconte des histoires de papillon, de médailles de mariage et d'autres incompréhensibles de pain d'épice, ça vous transporte. C'est un autre monde, c'est magique. Il faut le vivre pour comprendre." Il peut-être touchant au chevet de sa grand-mère, prêt à tout pour l'accompagner une dernière fois vers la paix. " On revient souvent sur les mêmes lieux, mais dans des situations différentes, les paysages, les pierres et les choses ne bougent pas, mais nous si." Mais alors, pourquoi vouloir salir cette image en nous infligeant des chapitres scabreux voire inutiles au milieu de scènes plutôt sympathiques. Sûrement pour illustrer que la vie d'un homme de quarante ans, c'est famille, boulot mais aussi ( et surtout) tentations ( je reste sobre). De même, l'auteur utilise des mots soutenus au milieu d'un style parlé assez pauvre. Beaucoup d'ambiguïtés chez Grangier, le narrateur et chez l'auteur. Certains aimeront l'ironie, la modernité, l'auto-dérision. Personnellement, je ne trouve que peu d'intérêt au style et au récit.
    • Ironique
    • XXIe siècle
    • Sud de la France
    Les tribulations d'un quadra
    Il a 40 ans, il est agent immobilier, il est divorcé et remarié, il a deux enfants. Elevé par des parents baba-cool, purs produits de mai 68, il tente de s'éloigner le plus possible de ce modèle d'éducation et d'être un père présent; ce qui ne l'empêche pas d'être dépassé par les fugues de son aîné et les caprices de sa cadette. C'est que ce n'est pas si évident d'être un bon père, ni un bon mari d'ailleurs, surtout quand on a toujours envie de séduire et qu'on n'a pas encore fait le deuil des folles années de sa jeunesse. Une succession de tranches de vie, parfois drôles, parfois tendres, souvent pathétiques, qui se lisent sans déplaisir mais sans non plus susciter un réel intérêt. Des thèmes légers, comme les soirées arrosées entre amis, la découverte de la franc-maçonnerie succèdent à des thèmes plus grave, la vie, l'amour, la mort, la vieillesse mais l'ensemble est plutôt décousu et le narrateur est plus agaçant que touchant. Une lecture à réserver à un moment où l'on a envie de se reposer la tête. Cela se lit très vite et cela s'oubliera encore plus vite.
    Il a 40 ans, il est agent immobilier, il est divorcé et remarié, il a deux enfants. Elevé par des parents baba-cool, purs produits de mai 68, il tente de s'éloigner le plus possible de ce modèle d'éducation et d'être un père présent; ce qui ne l'empêche pas d'être dépassé par les fugues de son aîné et les caprices de sa cadette. C'est que ce n'est pas si évident d'être un bon père, ni un bon mari d'ailleurs, surtout quand on a toujours envie de séduire et qu'on n'a pas encore fait le deuil des folles années de sa jeunesse. Une succession de tranches de vie, parfois drôles, parfois tendres, souvent pathétiques, qui se lisent sans déplaisir mais sans non plus susciter un réel intérêt. Des thèmes légers, comme les soirées arrosées entre amis, la découverte de la franc-maçonnerie succèdent à des thèmes plus grave, la vie, l'amour, la mort, la vieillesse mais l'ensemble est plutôt décousu et le narrateur est plus agaçant que touchant. Une lecture à réserver à un moment où l'on a envie de se reposer la tête. Cela se lit très vite et cela s'oubliera encore plus vite.