Je n'ai fait que mon devoir. 1940-1944 : un Juste dans les rangs de la police

Par : Roger Belbéoch, Vincent Brocvielle

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  • Nombre de pages149
  • PrésentationBroché
  • Poids0.205 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-221-10844-4
  • EAN9782221108444
  • Date de parution25/01/2007
  • ÉditeurRobert Laffont
  • PostfacierJean-Marc Berlière

Résumé

Pendant la Deuxième Guerre mondiale, Roger Belbéoch a mené des actions qui ont permis à des familles juives d'échapper à la déportation. Pour cela il a été nommé Juste parmi les Nations. Dans ce livre, Roger Belbéoch retrace son itinéraire de 1940 à 1944. Alors que les événements s'enchaînent, de l'exode à
Pendant la Deuxième Guerre mondiale, Roger Belbéoch a mené des actions qui ont permis à des familles juives d'échapper à la déportation. Pour cela il a été nommé Juste parmi les Nations. Dans ce livre, Roger Belbéoch retrace son itinéraire de 1940 à 1944. Alors que les événements s'enchaînent, de l'exode à l'insurrection, il raconte comment son père, communiste, lui a appris à combattre toute forme de discrimination, comment l'appel du 18 Juin l'a mobilisé, et comment le combat contre l'occupant a soudain pris pour lui une tournure imprévue.
Envoyé par ses camarades résistants dans les rangs de la police pour noyauter l'administration de Vichy, fournir des renseignements et des faux papiers, il s'arrange pour prévenir les familles juives menacées d'arrestation. Dénoncé, il est livré au Service des affaires juives, où il sera interrogé sous la torture ; mais il n'avoue rien. Il revient même à la charge et passe le concours d'inspecteur.
Jusqu'à la Libération, il va agir sans relâche, multipliant les planques, les faux certificats, les opérations de sauvetage. " Il y a eu des grandes figures qui portaient un idéal et qui nous éclairaient, dit-il, elles ont souvent payé de leur vie pour la Libération. Il y a aussi eu des petites mains, une Résistance composée de gens comme vous et moi, qui n'ont fait que leur devoir. " Le témoignage de Roger Belbéoch est suivi d'une postface de l'historien Jean-Marc Berlière, qui met en perspective le rôle de la police française durant l'Occupation.