Je N'Ai Droit A Rien. Clameur Des Droits, Silence Des Devoirs

Par : Placide Gaboury

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  • Nombre de pages221
  • PrésentationBroché
  • Poids0.32 kg
  • Dimensions15,5 cm × 22,7 cm × 1,5 cm
  • ISBN2-89074-845-6
  • EAN9782890748453
  • Date de parution01/01/1996
  • ÉditeurMortagne (Editions de)

Résumé

Cet essai critique se situe sur deux plans: Le premier observe le monde contemporain à partir de la conscience ordinaire. La mentalité des sociétés "développées" apparaît ainsi égocentrique, préoccupée de son confort, de sa jouissance, de sa sécurité. À l'escalade de l'individualisme répond un refus de s'impliquer, d'écouter, de la production et du progrès illimités répond la frénésie de la consommation. Les besoins essentiels étant depuis longtemps satisfaits, on ne fait que susciter et nourrir des désirs superflus. Et personne d'un côté ni de l'autre ne veut céder ou cesser ce dérapage scandaleux. Les magouilles se répandent dans le corps mondial comme des métastases, et l'intolérance s'infiltre partout, même là où on s'y attendrait le moins. Toutes les violences augmentent sans que l'on arrive à les maîtriser. Et si les solutions ne fonctionnent pas c'est parce qu'elles font partie clés problèmes. Or, le problème fondamental, le seul, c'est le cancer du moi. Cette évidence nous amène au deuxième plan: le regard de la conscience éveillée, telle qu'elle apparaît chez les contemplatifs d'aujourd'hui et d'autrefois. Ce regard seul a guéri les êtres de leurs déchirures, de leur peur, de leur avidité. Depuis ce regard, la clameur des droits perd de son intérêt puisque le désir est remplacé par l'accueil et l'écoute. Et comme le coeur transformé est ouvert à la vie, à l'environnement, la responsabilité s'exprime spontanément à partir du Silence. Ce regard libéré est possible à tous les humains. Mais qui aujourd'hui veut vraiment être libre?
Cet essai critique se situe sur deux plans: Le premier observe le monde contemporain à partir de la conscience ordinaire. La mentalité des sociétés "développées" apparaît ainsi égocentrique, préoccupée de son confort, de sa jouissance, de sa sécurité. À l'escalade de l'individualisme répond un refus de s'impliquer, d'écouter, de la production et du progrès illimités répond la frénésie de la consommation. Les besoins essentiels étant depuis longtemps satisfaits, on ne fait que susciter et nourrir des désirs superflus. Et personne d'un côté ni de l'autre ne veut céder ou cesser ce dérapage scandaleux. Les magouilles se répandent dans le corps mondial comme des métastases, et l'intolérance s'infiltre partout, même là où on s'y attendrait le moins. Toutes les violences augmentent sans que l'on arrive à les maîtriser. Et si les solutions ne fonctionnent pas c'est parce qu'elles font partie clés problèmes. Or, le problème fondamental, le seul, c'est le cancer du moi. Cette évidence nous amène au deuxième plan: le regard de la conscience éveillée, telle qu'elle apparaît chez les contemplatifs d'aujourd'hui et d'autrefois. Ce regard seul a guéri les êtres de leurs déchirures, de leur peur, de leur avidité. Depuis ce regard, la clameur des droits perd de son intérêt puisque le désir est remplacé par l'accueil et l'écoute. Et comme le coeur transformé est ouvert à la vie, à l'environnement, la responsabilité s'exprime spontanément à partir du Silence. Ce regard libéré est possible à tous les humains. Mais qui aujourd'hui veut vraiment être libre?
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Placide Gaboury
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