Jacques Chirac a dit...
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- Nombre de pages211
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.216 kg
- Dimensions12,0 cm × 18,5 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-86374-370-6
- EAN9782863743706
- Date de parution19/09/2018
- ÉditeurMazarine (Editions)
Résumé
On connaît tous un bon mot de Chirac. En public comme en privé, il n'avait pas son pareil pour régaler ses interlocuteurs d'analyses et de piques mordantes, salaces ou incrédules sur ses ennemis, ses amis, ou simplement ceux qui passaient dans son orbite. Mais, dans le même temps, il a été capable de discours mémorables. Jacques Chirac personnifie ce côté gaulois fait de chauvinisme, de rusticité tout autant que de traits d'esprit hérités des Lumières, de cynisme et d'ironie, d'insoumission et de bonhomie, de séduction, constituant ce cote frondeur et hâbleur.
" La merde, ça vole toujours en escadrille ", " Ca m'en touche une sans faire bouger l'autre ", " Sarkozy, il faut lui marcher dessus, du pied gauche. D'abord, parce que ça porte bonheur, et puis parce qu'il n'y a que ça qu'il comprenne ", " De Gaulle nous a quittés, mais nous n'avons pas quitté de Gaulle ", " On n'exporte pas la démocratie dans un fourgon blindé ". A l'heure de l'uniformité, redécouvrir le style Chirac, c'est prendre conscience de la beauté de la langue française.
et surtout de son impertinence.
" La merde, ça vole toujours en escadrille ", " Ca m'en touche une sans faire bouger l'autre ", " Sarkozy, il faut lui marcher dessus, du pied gauche. D'abord, parce que ça porte bonheur, et puis parce qu'il n'y a que ça qu'il comprenne ", " De Gaulle nous a quittés, mais nous n'avons pas quitté de Gaulle ", " On n'exporte pas la démocratie dans un fourgon blindé ". A l'heure de l'uniformité, redécouvrir le style Chirac, c'est prendre conscience de la beauté de la langue française.
et surtout de son impertinence.
On connaît tous un bon mot de Chirac. En public comme en privé, il n'avait pas son pareil pour régaler ses interlocuteurs d'analyses et de piques mordantes, salaces ou incrédules sur ses ennemis, ses amis, ou simplement ceux qui passaient dans son orbite. Mais, dans le même temps, il a été capable de discours mémorables. Jacques Chirac personnifie ce côté gaulois fait de chauvinisme, de rusticité tout autant que de traits d'esprit hérités des Lumières, de cynisme et d'ironie, d'insoumission et de bonhomie, de séduction, constituant ce cote frondeur et hâbleur.
" La merde, ça vole toujours en escadrille ", " Ca m'en touche une sans faire bouger l'autre ", " Sarkozy, il faut lui marcher dessus, du pied gauche. D'abord, parce que ça porte bonheur, et puis parce qu'il n'y a que ça qu'il comprenne ", " De Gaulle nous a quittés, mais nous n'avons pas quitté de Gaulle ", " On n'exporte pas la démocratie dans un fourgon blindé ". A l'heure de l'uniformité, redécouvrir le style Chirac, c'est prendre conscience de la beauté de la langue française.
et surtout de son impertinence.
" La merde, ça vole toujours en escadrille ", " Ca m'en touche une sans faire bouger l'autre ", " Sarkozy, il faut lui marcher dessus, du pied gauche. D'abord, parce que ça porte bonheur, et puis parce qu'il n'y a que ça qu'il comprenne ", " De Gaulle nous a quittés, mais nous n'avons pas quitté de Gaulle ", " On n'exporte pas la démocratie dans un fourgon blindé ". A l'heure de l'uniformité, redécouvrir le style Chirac, c'est prendre conscience de la beauté de la langue française.
et surtout de son impertinence.