J'ai un rendez-vous avec la Mort. Lettres et poèmes écrits durant la guerre
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- Nombre de pages298
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.32 kg
- Dimensions12,4 cm × 19,0 cm × 2,5 cm
- ISBN978-2-251-45690-4
- EAN9782251456904
- Date de parution04/04/2025
- CollectionMémoires de guerre
- ÉditeurBelles Lettres
- CompilateurCharles-Louis Seeger
- TraducteurOdette Raimondi-Matheron
- PréfacierFrançois Malye
Résumé
Alan Seeger, poète américain, a vingt-huit ans quand il meurt le 4 juillet 1916 devant le petit village de Belloy-en-Santerre dans la Somme où son bataillon est anéanti par les mitrailleuses allemandes. Engagé dans la Légion étrangère dès août 1914, ce fils d'une famille américaine aisée voue un culte à la France et à Paris où il vit depuis 1912, fréquentant le milieu artistique et littéraire de la capitale, centre du monde intellectuel de l'époque.
Ami d'Apollinaire, qui annonce sa mort, Alan Seeger n'a cessé d'écrire durant ces années de guerre. Des lettres, un journal, des poèmes aussi, dont le plus connu "J'ai un rendez-vous avec la Mort ", était le texte préféré du président John Kennedy. Tous ces écrits, pieusement rassemblés par son père et sa soeur dans les semaines et les mois qui suivent sa disparition sont publiés d'abord aux Etats-Unis, où ils connaissent un formidable succès, puis en France en 1918.
Ce livre, intitulé à l'origine, "Alan Seeger, le Poète de la Légion Etrangère, ses lettres et poèmes réunis par son père" n'avait jamais été republié depuis. Il s'agit pourtant d'un témoignage rare sur l'engagement, d'un portrait pointilliste de cette France, à la fois belle et ravagée, dont le poète sillonne les routes, le lourd paquetage sur le dos avant de plonger dans le cloaque des tranchées.
C'est aussi la Légion étrangère au combat, troupe de choc rudement éprouvée durant la Première Guerre mondiale, tour de Babel au sein de laquelle Seeger demeurera quand on lui proposera de rejoindre une autre unité : "J'ai choisi de rester fidèle à la Légion où je me trouve content et ai de bons camarades."
Ami d'Apollinaire, qui annonce sa mort, Alan Seeger n'a cessé d'écrire durant ces années de guerre. Des lettres, un journal, des poèmes aussi, dont le plus connu "J'ai un rendez-vous avec la Mort ", était le texte préféré du président John Kennedy. Tous ces écrits, pieusement rassemblés par son père et sa soeur dans les semaines et les mois qui suivent sa disparition sont publiés d'abord aux Etats-Unis, où ils connaissent un formidable succès, puis en France en 1918.
Ce livre, intitulé à l'origine, "Alan Seeger, le Poète de la Légion Etrangère, ses lettres et poèmes réunis par son père" n'avait jamais été republié depuis. Il s'agit pourtant d'un témoignage rare sur l'engagement, d'un portrait pointilliste de cette France, à la fois belle et ravagée, dont le poète sillonne les routes, le lourd paquetage sur le dos avant de plonger dans le cloaque des tranchées.
C'est aussi la Légion étrangère au combat, troupe de choc rudement éprouvée durant la Première Guerre mondiale, tour de Babel au sein de laquelle Seeger demeurera quand on lui proposera de rejoindre une autre unité : "J'ai choisi de rester fidèle à la Légion où je me trouve content et ai de bons camarades."
Alan Seeger, poète américain, a vingt-huit ans quand il meurt le 4 juillet 1916 devant le petit village de Belloy-en-Santerre dans la Somme où son bataillon est anéanti par les mitrailleuses allemandes. Engagé dans la Légion étrangère dès août 1914, ce fils d'une famille américaine aisée voue un culte à la France et à Paris où il vit depuis 1912, fréquentant le milieu artistique et littéraire de la capitale, centre du monde intellectuel de l'époque.
Ami d'Apollinaire, qui annonce sa mort, Alan Seeger n'a cessé d'écrire durant ces années de guerre. Des lettres, un journal, des poèmes aussi, dont le plus connu "J'ai un rendez-vous avec la Mort ", était le texte préféré du président John Kennedy. Tous ces écrits, pieusement rassemblés par son père et sa soeur dans les semaines et les mois qui suivent sa disparition sont publiés d'abord aux Etats-Unis, où ils connaissent un formidable succès, puis en France en 1918.
Ce livre, intitulé à l'origine, "Alan Seeger, le Poète de la Légion Etrangère, ses lettres et poèmes réunis par son père" n'avait jamais été republié depuis. Il s'agit pourtant d'un témoignage rare sur l'engagement, d'un portrait pointilliste de cette France, à la fois belle et ravagée, dont le poète sillonne les routes, le lourd paquetage sur le dos avant de plonger dans le cloaque des tranchées.
C'est aussi la Légion étrangère au combat, troupe de choc rudement éprouvée durant la Première Guerre mondiale, tour de Babel au sein de laquelle Seeger demeurera quand on lui proposera de rejoindre une autre unité : "J'ai choisi de rester fidèle à la Légion où je me trouve content et ai de bons camarades."
Ami d'Apollinaire, qui annonce sa mort, Alan Seeger n'a cessé d'écrire durant ces années de guerre. Des lettres, un journal, des poèmes aussi, dont le plus connu "J'ai un rendez-vous avec la Mort ", était le texte préféré du président John Kennedy. Tous ces écrits, pieusement rassemblés par son père et sa soeur dans les semaines et les mois qui suivent sa disparition sont publiés d'abord aux Etats-Unis, où ils connaissent un formidable succès, puis en France en 1918.
Ce livre, intitulé à l'origine, "Alan Seeger, le Poète de la Légion Etrangère, ses lettres et poèmes réunis par son père" n'avait jamais été republié depuis. Il s'agit pourtant d'un témoignage rare sur l'engagement, d'un portrait pointilliste de cette France, à la fois belle et ravagée, dont le poète sillonne les routes, le lourd paquetage sur le dos avant de plonger dans le cloaque des tranchées.
C'est aussi la Légion étrangère au combat, troupe de choc rudement éprouvée durant la Première Guerre mondiale, tour de Babel au sein de laquelle Seeger demeurera quand on lui proposera de rejoindre une autre unité : "J'ai choisi de rester fidèle à la Légion où je me trouve content et ai de bons camarades."