J'Ai Laboure L'Amer... L'Armee Francaise Clandestine Interieure Du Colonel Le Tacon

Par : Alain Chabot

Formats :

Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages161
  • PrésentationBroché
  • Poids0.225 kg
  • Dimensions14,8 cm × 20,7 cm × 1,0 cm
  • ISBN2-9512225-3-X
  • EAN9782951222533
  • Date de parution20/11/1999
  • ÉditeurChabot(alain)

Résumé

C'est dès le mois de décembre 1940 qu'une dizaine d'Officiers - dont mon père - se regroupait à Toulon sous l'autorité du Colonel LE TACON (Abbeville, 22ième RIC) et mettait peu à peu en place dans le Sud de la France une structure militaire clandestine à l'insu du régime de Vichy et des accords d'Armistice. En avril 1942, puis en octobre, à Alger, cette petite Armée Nationale tentait sans succès de persuader les Américains d'ouvrir un nouveau front décisif par un débarquement en Provence - et non point en Afrique ! ... ... Avant d'être définitivement éliminée, début 1944, par une série de dénonciations sur le terrain ou d'initiatives criminelles prises depuis Londres, et qui détruisaient aux Glières, en Lozère et enfin au Vercors ces Unités Combattantes de plus de 4.000 hommes prêts à assurer la relève républicaine et prendre le contrôle politique de Paris.
C'est dès le mois de décembre 1940 qu'une dizaine d'Officiers - dont mon père - se regroupait à Toulon sous l'autorité du Colonel LE TACON (Abbeville, 22ième RIC) et mettait peu à peu en place dans le Sud de la France une structure militaire clandestine à l'insu du régime de Vichy et des accords d'Armistice. En avril 1942, puis en octobre, à Alger, cette petite Armée Nationale tentait sans succès de persuader les Américains d'ouvrir un nouveau front décisif par un débarquement en Provence - et non point en Afrique ! ... ... Avant d'être définitivement éliminée, début 1944, par une série de dénonciations sur le terrain ou d'initiatives criminelles prises depuis Londres, et qui détruisaient aux Glières, en Lozère et enfin au Vercors ces Unités Combattantes de plus de 4.000 hommes prêts à assurer la relève républicaine et prendre le contrôle politique de Paris.