Islam et chrétienté. Deux siècles de guerre (1095-1270) Les croisades
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- Nombre de pages367
- PrésentationRelié
- FormatBeau Livre
- Poids2.72 kg
- Dimensions26,0 cm × 29,0 cm × 4,0 cm
- ISBN2-84690-249-6
- EAN9782846902496
- Date de parution18/09/2006
- ÉditeurLodi (Editions de)/EDL
Résumé
" Il est clair que l'Orient arabe voit toujours dans l'Occident un ennemi naturel. Contre lui, tout acte hostile, qu'il soit politique, militaire ou pétrolier, n'est qu'une revanche légitime. Et l'on ne peut douter que la cassure entre ces deux mondes date des croisades, ressenties par les Arabes, aujourd'hui encore, comme un viol. " Ce jugement sans appel d'Amin Maalouf écrivant l'histoire des croisades vues par les Arabes, rejoint les conclusions de la plupart des historiens du Moyen Âge.
Il faut renoncer à présent à la mythologie flamboyante de la chevalerie occidentale et des moines soldats - les Templiers - délivrant le tombeau du Christ dans Jérusalem reprise aux infidèles. Profitant d'une éclipse, au XIe siècle, de la brillante civilisation arabe à laquelle toutes les sciences, l'art et la pensée humaine sont redevables à jamais, l'Occident, à l'appel du pape de Rome a repris pied sûr les Lieux saints du christianisme où la sécurité des pèlerins n'était plus assurée.
Mais les divisions internes des princes arabes ont favorisé une vaste entreprise de colonisation et d'occupation militaire qui devait durer deux siècles. Longue et tragique guerre sainte des deux côtés, affrontement inutile et sans gloire de la Croix et du Croissant, que l'on ne peut revivre aujourd'hui sans espérer le silence des armes qui s'affrontent encore et se croisent, en invoquant les désastres et les incompréhensions d'hier.
L'idéal perdu d'un Godefroi de Bouillon, d'un Saladin, d'un Frédéric de Hohenstaufen était porteur de tolérance et de paix.
Il faut renoncer à présent à la mythologie flamboyante de la chevalerie occidentale et des moines soldats - les Templiers - délivrant le tombeau du Christ dans Jérusalem reprise aux infidèles. Profitant d'une éclipse, au XIe siècle, de la brillante civilisation arabe à laquelle toutes les sciences, l'art et la pensée humaine sont redevables à jamais, l'Occident, à l'appel du pape de Rome a repris pied sûr les Lieux saints du christianisme où la sécurité des pèlerins n'était plus assurée.
Mais les divisions internes des princes arabes ont favorisé une vaste entreprise de colonisation et d'occupation militaire qui devait durer deux siècles. Longue et tragique guerre sainte des deux côtés, affrontement inutile et sans gloire de la Croix et du Croissant, que l'on ne peut revivre aujourd'hui sans espérer le silence des armes qui s'affrontent encore et se croisent, en invoquant les désastres et les incompréhensions d'hier.
L'idéal perdu d'un Godefroi de Bouillon, d'un Saladin, d'un Frédéric de Hohenstaufen était porteur de tolérance et de paix.
" Il est clair que l'Orient arabe voit toujours dans l'Occident un ennemi naturel. Contre lui, tout acte hostile, qu'il soit politique, militaire ou pétrolier, n'est qu'une revanche légitime. Et l'on ne peut douter que la cassure entre ces deux mondes date des croisades, ressenties par les Arabes, aujourd'hui encore, comme un viol. " Ce jugement sans appel d'Amin Maalouf écrivant l'histoire des croisades vues par les Arabes, rejoint les conclusions de la plupart des historiens du Moyen Âge.
Il faut renoncer à présent à la mythologie flamboyante de la chevalerie occidentale et des moines soldats - les Templiers - délivrant le tombeau du Christ dans Jérusalem reprise aux infidèles. Profitant d'une éclipse, au XIe siècle, de la brillante civilisation arabe à laquelle toutes les sciences, l'art et la pensée humaine sont redevables à jamais, l'Occident, à l'appel du pape de Rome a repris pied sûr les Lieux saints du christianisme où la sécurité des pèlerins n'était plus assurée.
Mais les divisions internes des princes arabes ont favorisé une vaste entreprise de colonisation et d'occupation militaire qui devait durer deux siècles. Longue et tragique guerre sainte des deux côtés, affrontement inutile et sans gloire de la Croix et du Croissant, que l'on ne peut revivre aujourd'hui sans espérer le silence des armes qui s'affrontent encore et se croisent, en invoquant les désastres et les incompréhensions d'hier.
L'idéal perdu d'un Godefroi de Bouillon, d'un Saladin, d'un Frédéric de Hohenstaufen était porteur de tolérance et de paix.
Il faut renoncer à présent à la mythologie flamboyante de la chevalerie occidentale et des moines soldats - les Templiers - délivrant le tombeau du Christ dans Jérusalem reprise aux infidèles. Profitant d'une éclipse, au XIe siècle, de la brillante civilisation arabe à laquelle toutes les sciences, l'art et la pensée humaine sont redevables à jamais, l'Occident, à l'appel du pape de Rome a repris pied sûr les Lieux saints du christianisme où la sécurité des pèlerins n'était plus assurée.
Mais les divisions internes des princes arabes ont favorisé une vaste entreprise de colonisation et d'occupation militaire qui devait durer deux siècles. Longue et tragique guerre sainte des deux côtés, affrontement inutile et sans gloire de la Croix et du Croissant, que l'on ne peut revivre aujourd'hui sans espérer le silence des armes qui s'affrontent encore et se croisent, en invoquant les désastres et les incompréhensions d'hier.
L'idéal perdu d'un Godefroi de Bouillon, d'un Saladin, d'un Frédéric de Hohenstaufen était porteur de tolérance et de paix.