Impératrices, princesses, aristocrates et saintes souveraines. De l'Orient chrétien et musulman au Moyen Age et au début des Temps modernes

Par : Elisabeth Malamut, Andréas Nicolaïdès

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  • Nombre de pages288
  • PrésentationBroché
  • Poids0.53 kg
  • Dimensions16,0 cm × 23,8 cm × 1,7 cm
  • ISBN978-2-85399-901-4
  • EAN9782853999014
  • Date de parution27/03/2014
  • CollectionLe temps de l'histoire
  • ÉditeurPU de Provence

Résumé

Cet ouvrage est consacré aux souveraines et aux aristocrates de l'Orient méditerranéen à l'époque médiévale. Il s'inscrit dans les recherches actuelles sur l'étude des femmes comme "genre". La symbolique chrétienne se fonde sur l'iconographie des églises où sont représentées comme modèles les saintes souveraines et martyres des premiers siècles alors que l'historiographie témoigne d'impératrices confrontées au pouvoir, usant de leur beauté et d'artifices, telle Théophano au Xe siècle soupçonnée du meurtre de ses deux premiers époux.
On pénètre jusqu'au fond du gynécée là où s'ourdissent les complots, où rivalisent la reine mère et sa belle-fille, là aussi où s'éduquent les enfants impériaux pour lesquels leur mère est appelée à la régence lors de la mort de son époux. Toute l'aristocratie féminine gravite autour de la cour, les princesses rivalisent de piété et de générosité, qu'elles soient byzantines, arméniennes ou timourides, mais aussi de faste.
Fortunées, mécènes dans le domaine artistique et religieux, fondatrices, commanditaires de reliquaires et de manuscrits enluminés la liste de ces dames de la haute société couvre l'Europe, l'Asie occidentale et centrale.
Cet ouvrage est consacré aux souveraines et aux aristocrates de l'Orient méditerranéen à l'époque médiévale. Il s'inscrit dans les recherches actuelles sur l'étude des femmes comme "genre". La symbolique chrétienne se fonde sur l'iconographie des églises où sont représentées comme modèles les saintes souveraines et martyres des premiers siècles alors que l'historiographie témoigne d'impératrices confrontées au pouvoir, usant de leur beauté et d'artifices, telle Théophano au Xe siècle soupçonnée du meurtre de ses deux premiers époux.
On pénètre jusqu'au fond du gynécée là où s'ourdissent les complots, où rivalisent la reine mère et sa belle-fille, là aussi où s'éduquent les enfants impériaux pour lesquels leur mère est appelée à la régence lors de la mort de son époux. Toute l'aristocratie féminine gravite autour de la cour, les princesses rivalisent de piété et de générosité, qu'elles soient byzantines, arméniennes ou timourides, mais aussi de faste.
Fortunées, mécènes dans le domaine artistique et religieux, fondatrices, commanditaires de reliquaires et de manuscrits enluminés la liste de ces dames de la haute société couvre l'Europe, l'Asie occidentale et centrale.