Imagination souveraine. Du romantisme au surréalisme

Par : Marc Verdure
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  • Nombre de pages80
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.57 kg
  • Dimensions24,0 cm × 40,0 cm × 0,7 cm
  • ISBN978-88-366-3866-6
  • EAN9788836638666
  • Date de parution23/08/2018
  • ÉditeurSilvana Editoriale

Résumé

Le poète surréaliste Tristan Tzara note, en 1931 : "[...] les Romantiques avaient la conscience qu'en dehors de l'exprimable un pays du merveilleux, encore inexploré, pouvait exister, peuplé de l'amour des fantômes, des sorcelleries, de l'occultisme, de la magie, des voyages réels ou imaginaires, de ce bric-à-brac des merveilles". La thématique de l'ailleurs, que l'on découvre en rêve ou par de mystérieux voyages, se situe au coeur des romans de Julien Gracq (1910-2007), fin connaisseur de la culture allemande et admirateur d'André Breton.
Située au point de rencontre de ces deux courants culturels enracinés en Allemagne et en France, son écriture est liée par une "dette de reconnaissance" à l'égard du surréalisme et illustre également la nostalgie d'un âge d'or où l'harmonie régnait entre l'homme et la nature, à portée de main grâce à l'art et à la création. Littérature et art, France et Allemagne, surréalisme et romantisme : la comparaison d'oeuvres surréalistes issues des collections belfortaines (André Masson, Salvador Dalí ou encore Hans Bellmer) avec des prêts prestigieux (Odilon Redon, Max Ernst, Fred Deux) crée un parcours stimulant, mêlant fantastique et rêverie.
Le poète surréaliste Tristan Tzara note, en 1931 : "[...] les Romantiques avaient la conscience qu'en dehors de l'exprimable un pays du merveilleux, encore inexploré, pouvait exister, peuplé de l'amour des fantômes, des sorcelleries, de l'occultisme, de la magie, des voyages réels ou imaginaires, de ce bric-à-brac des merveilles". La thématique de l'ailleurs, que l'on découvre en rêve ou par de mystérieux voyages, se situe au coeur des romans de Julien Gracq (1910-2007), fin connaisseur de la culture allemande et admirateur d'André Breton.
Située au point de rencontre de ces deux courants culturels enracinés en Allemagne et en France, son écriture est liée par une "dette de reconnaissance" à l'égard du surréalisme et illustre également la nostalgie d'un âge d'or où l'harmonie régnait entre l'homme et la nature, à portée de main grâce à l'art et à la création. Littérature et art, France et Allemagne, surréalisme et romantisme : la comparaison d'oeuvres surréalistes issues des collections belfortaines (André Masson, Salvador Dalí ou encore Hans Bellmer) avec des prêts prestigieux (Odilon Redon, Max Ernst, Fred Deux) crée un parcours stimulant, mêlant fantastique et rêverie.