Images de la femme dans l'historiographie florentine du XIVe siècle
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- Nombre de pages232
- PrésentationBroché
- Poids0.305 kg
- Dimensions14,5 cm × 20,5 cm × 1,3 cm
- ISBN978-2-85399-725-6
- EAN9782853997256
- Date de parution14/01/2010
- CollectionLe temps de l'histoire
- ÉditeurPU de Provence
Résumé
" A bon cheval et à mauvais cheval il faut l'éperon; à bonne femme et à mauvaise femme il faut un maître, et à certaines du bâton ". Ce proverbe, cité par Paolo da Certaldo, un Florentin du XIVe siècle, révèle une société où les femmes demeurent dans un état de subordination permanent dont témoignent, en effet, les livres de raison de ses compatriotes. Cette étude de l'ensemble des chroniques florentines, écrites en latin et en langue vulgaire, depuis la "Légende des Origines" et les "Gesta florentinorum" jusqu'à la "Nuova Cronica" de Giovanni Villani et sa continuation par Matteo et Filippo, veut contribuer à une plus juste évaluation du statut des femmes dans la société florentine du XIVe siècle. Elle retrace la genèse de son historiographie, analyse les modes de désignation de la femme et des femmes utilisés par les chroniqueurs, pour mieux cerner la place rue ceux-ci leur attribuent dans la cellule familiale et la société.
" A bon cheval et à mauvais cheval il faut l'éperon; à bonne femme et à mauvaise femme il faut un maître, et à certaines du bâton ". Ce proverbe, cité par Paolo da Certaldo, un Florentin du XIVe siècle, révèle une société où les femmes demeurent dans un état de subordination permanent dont témoignent, en effet, les livres de raison de ses compatriotes. Cette étude de l'ensemble des chroniques florentines, écrites en latin et en langue vulgaire, depuis la "Légende des Origines" et les "Gesta florentinorum" jusqu'à la "Nuova Cronica" de Giovanni Villani et sa continuation par Matteo et Filippo, veut contribuer à une plus juste évaluation du statut des femmes dans la société florentine du XIVe siècle. Elle retrace la genèse de son historiographie, analyse les modes de désignation de la femme et des femmes utilisés par les chroniqueurs, pour mieux cerner la place rue ceux-ci leur attribuent dans la cellule familiale et la société.