Il était une fois en Amérique de Sergio Leone

Par : Ilaria Feole
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages153
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.324 kg
  • Dimensions13,5 cm × 19,0 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-36677-174-9
  • EAN9782366771749
  • Date de parution29/11/2018
  • CollectionLes meilleurs films de notre v
  • ÉditeurGremese
  • TraducteurChloé Lafitte

Résumé

Une genèse qui dure deux décennies, un tournage colossal, une oeuvre monumentale : le dernier film de Sergio Leone est son chef-d'oeuvre, un résumé de son art et l'apogée de son travail de réélaboration du cinéma classique américain. Un film noir violent et mélancolique, une épopée de gangsters qui rend hommage au genre et à ses codes, en mettant en scène une histoire d'amitié et de trahison dans le New York des années 1920 et 1930.
Une oeuvre immense sur te temps perdu, sur la nostalgie et sur la négation du Rêve américain. Mais aussi un théorème sur le fonctionnement de l'imaginaire cinématographique et sur le récit que l'Amérique a fait d'elle-même à travers te septième art : une "vendetta" envers le cinéma à paillettes, que Leone exécute (en qualité de "premier réalisateur post-moderne" comme l'a défini Jean Baudrillard) en démystifiant la tromperie des films avec lesquels il a grandi, en en déconstruisant le charme pour lui donner un nouveau sens.
Il était une fois en Amérique est aussi l'histoire d'un regard sur le cinéma, d'un rêve brisé, d'un mythe démantelé pour être reconstruit.
Une genèse qui dure deux décennies, un tournage colossal, une oeuvre monumentale : le dernier film de Sergio Leone est son chef-d'oeuvre, un résumé de son art et l'apogée de son travail de réélaboration du cinéma classique américain. Un film noir violent et mélancolique, une épopée de gangsters qui rend hommage au genre et à ses codes, en mettant en scène une histoire d'amitié et de trahison dans le New York des années 1920 et 1930.
Une oeuvre immense sur te temps perdu, sur la nostalgie et sur la négation du Rêve américain. Mais aussi un théorème sur le fonctionnement de l'imaginaire cinématographique et sur le récit que l'Amérique a fait d'elle-même à travers te septième art : une "vendetta" envers le cinéma à paillettes, que Leone exécute (en qualité de "premier réalisateur post-moderne" comme l'a défini Jean Baudrillard) en démystifiant la tromperie des films avec lesquels il a grandi, en en déconstruisant le charme pour lui donner un nouveau sens.
Il était une fois en Amérique est aussi l'histoire d'un regard sur le cinéma, d'un rêve brisé, d'un mythe démantelé pour être reconstruit.