Il est toujours interdit d'interdire

Par : Guy Konopnicki
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages134
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.155 kg
  • Dimensions13,0 cm × 20,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-491609-02-3
  • EAN9782491609023
  • Date de parution03/07/2020
  • ÉditeurImpacts Editions

Résumé

28 février 2020. Le petit monde du cinéma s'est donné rendez-vous pour sa traditionnelle cérémonie des Césars. Mais depuis déjà quelques jours c'est un peloton d'exécution qui se prépare. Douze nominations pour J'accuse, douze balles pour Roman Polanski, quand il reçoit le César du meilleur réalisateur. Qu'importe le talent du cinéaste, ses accusatrices le clouent au pilori pour des faits vieux de plus de quarante ans.
Qu'importe la justice ! Polanski est le monstre à abattre. Le symbole de la domination des hommes et de l'argent. Guy Konopnicki, dont l'engagement progressiste n'est plus à prouver, s'insurge contre ces amalgames, contre cette soif de censure. A l'aune des nouvelles exigences, il faudrait briller Ronsard, Corneille, Hugo et Marguerite Duras, expurger la littérature, les arts et le cinéma. Les portes de nombre de musées devraient être murées.
La vindicte médiatisée se substitue à la justice, au mépris des droits de la défense. Au nom de causes, justes ou non, nous nous dirigeons vers une société où l'interdit devient la première règle. Comme si la liberté était, désormais, insupportable.
28 février 2020. Le petit monde du cinéma s'est donné rendez-vous pour sa traditionnelle cérémonie des Césars. Mais depuis déjà quelques jours c'est un peloton d'exécution qui se prépare. Douze nominations pour J'accuse, douze balles pour Roman Polanski, quand il reçoit le César du meilleur réalisateur. Qu'importe le talent du cinéaste, ses accusatrices le clouent au pilori pour des faits vieux de plus de quarante ans.
Qu'importe la justice ! Polanski est le monstre à abattre. Le symbole de la domination des hommes et de l'argent. Guy Konopnicki, dont l'engagement progressiste n'est plus à prouver, s'insurge contre ces amalgames, contre cette soif de censure. A l'aune des nouvelles exigences, il faudrait briller Ronsard, Corneille, Hugo et Marguerite Duras, expurger la littérature, les arts et le cinéma. Les portes de nombre de musées devraient être murées.
La vindicte médiatisée se substitue à la justice, au mépris des droits de la défense. Au nom de causes, justes ou non, nous nous dirigeons vers une société où l'interdit devient la première règle. Comme si la liberté était, désormais, insupportable.
L'amour de la politique
Guy Konopnicki
E-book
5,99 €
L'âge démocratique
Guy Konopnicki
E-book
5,99 €
Chante, petit coq, chante!
Guy Konopnicki
E-book
5,99 €
Au nouveau chic ouvrier
Guy Konopnicki
E-book
10,99 €
Les amoureux de la Veuve
Guy Konopnicki
E-book
5,99 €
Les amoureux de la Veuve
Guy Konopnicki
E-book
5,99 €
La Place de la Nation
Guy Konopnicki
E-book
9,99 €
La Place de la Nation
Guy Konopnicki
E-book
9,99 €
Les Bouches se ferment
Guy Konopnicki
E-book
9,49 €
Les Bouches se ferment
Guy Konopnicki
E-book
9,49 €