Il a neigé cette nuit

Par : Marie Rouanet

Formats :

Disponible d'occasion :

Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages119
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.12 kg
  • Dimensions10,6 cm × 19,5 cm × 1,1 cm
  • ISBN2-84158-067-9
  • EAN9782841580675
  • Date de parution31/05/1997
  • Collectionmicro-climats
  • ÉditeurClimats (editions)

Résumé

Chez Marie Rouanet, le blanc est la couleur de la douleur et de la mort qui rôde, sans cesser d'être celle de la lumière. Le jour blanc qui ouvre ce recueil est celui d'une double révélation : celle du merveilleux mystère de l'antipetit-serpentigraphe, sur lequel s'achève Nous les Filles et celle d'une inquiétante invasion souterraine qui menace le paradis du vieil homme et de l'enfant. Puis ce sont les trois douleurs du Triptyque à Sainte Valérie : l'insecte transformé en bijou vivant, l'aveugle dans le train et l'enfant qui meurt. Deux arbres, un mimosa et un gommier bleu, introduisent à la lecture de destins pathétiques. Rien n'est plus blanc que la neige qui tombe comme un rideau sur la fin de la vieille tante, " mère sans l'être " et mal aimée. Tout cela serait insupportable sans l'écriture limpide de l'auteur et son extraordinaire capacité d'amour et de vérité.
Chez Marie Rouanet, le blanc est la couleur de la douleur et de la mort qui rôde, sans cesser d'être celle de la lumière. Le jour blanc qui ouvre ce recueil est celui d'une double révélation : celle du merveilleux mystère de l'antipetit-serpentigraphe, sur lequel s'achève Nous les Filles et celle d'une inquiétante invasion souterraine qui menace le paradis du vieil homme et de l'enfant. Puis ce sont les trois douleurs du Triptyque à Sainte Valérie : l'insecte transformé en bijou vivant, l'aveugle dans le train et l'enfant qui meurt. Deux arbres, un mimosa et un gommier bleu, introduisent à la lecture de destins pathétiques. Rien n'est plus blanc que la neige qui tombe comme un rideau sur la fin de la vieille tante, " mère sans l'être " et mal aimée. Tout cela serait insupportable sans l'écriture limpide de l'auteur et son extraordinaire capacité d'amour et de vérité.