Face à l'idée de la " fin ", il semble que toutes nos pensées soient condamnées à l'échec, qu'il s'agisse de la fin individuelle (la mort) ou de cette fin collective que l'on a comprise soit selon les termes de l'Apocalypse, le dernier livre de la Bible, soit d'après le paradigme empirique de la catastrophe. L'imagination prend alors le relais. L'auteur en explore les créations à travers l'histoire culturelle occidentale.
Il aborde ainsi, parmi d'autres données, l'image cinématographique du temps (p. ex. " 2001 : Odyssée de l'espace "), les figures extrêmes du mal (le diable ou rebelle métaphysique), les images fantastiques de la fin individuelle (Frankenstein ou l'homme artificiel, le vampire mélancolique et la momie), les perspectives de la fin collective (catastrophes et technique), la figure de Don Juan (héros moderne, antéchrist et rebelle).
Le lecteur est ainsi convié à un voyage fascinant à travers ces multiples images apocalyptiques qui ne cessent de hanter l'esprit humain.
Face à l'idée de la " fin ", il semble que toutes nos pensées soient condamnées à l'échec, qu'il s'agisse de la fin individuelle (la mort) ou de cette fin collective que l'on a comprise soit selon les termes de l'Apocalypse, le dernier livre de la Bible, soit d'après le paradigme empirique de la catastrophe. L'imagination prend alors le relais. L'auteur en explore les créations à travers l'histoire culturelle occidentale.
Il aborde ainsi, parmi d'autres données, l'image cinématographique du temps (p. ex. " 2001 : Odyssée de l'espace "), les figures extrêmes du mal (le diable ou rebelle métaphysique), les images fantastiques de la fin individuelle (Frankenstein ou l'homme artificiel, le vampire mélancolique et la momie), les perspectives de la fin collective (catastrophes et technique), la figure de Don Juan (héros moderne, antéchrist et rebelle).
Le lecteur est ainsi convié à un voyage fascinant à travers ces multiples images apocalyptiques qui ne cessent de hanter l'esprit humain.