Hubert Lagardelle. Un bourgeois révolutionnaire et son époque, 1874-1958
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- Nombre de pages564
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids1 kg
- Dimensions17,0 cm × 24,5 cm × 4,2 cm
- ISBN2-84564-028-5
- EAN9782845640283
- Date de parution01/01/2005
- CollectionPassés composés
- ÉditeurEuredit
- PréfacierSylvie Guillaume
Résumé
L'itinéraire d'Hubert Lagardelle (1874-1958) est d'abord celui d'un intellectuel passant de l'extrême gauche, dans le mouvement socialiste et syndicaliste, à l'extrême droite, dans la mouvance fasciste et le régime de Vichy. Au-delà d'un apparent illogisme chez ce bourgeois d'origine et de formation, on perçoit une quête constante de la révolution — du syndicalisme révolutionnaire à la révolution nationale — qu'il croit atteindre dans les corps intermédiaires (syndicat, région, métier) rejetant l'individu, l'Etat et finalement les valeurs de la démocratie libérale.
Il développa son action à une triple échelle, régionale, celle du Sud-Ouest, nationale, du Quartier Latin au gouvernement de Laval, et internationale, des voyages de formation en Europe à la mission diplomatique à Rome, toujours à la recherche d'une "troisième voie" entre libéralisme et collectivisme. Il fut l'homme de tous les paradoxes au sein de réseaux dominés aussi bien par Sorel que Jaurès, Mussolini, Valois et de Monzie.
Il développa son action à une triple échelle, régionale, celle du Sud-Ouest, nationale, du Quartier Latin au gouvernement de Laval, et internationale, des voyages de formation en Europe à la mission diplomatique à Rome, toujours à la recherche d'une "troisième voie" entre libéralisme et collectivisme. Il fut l'homme de tous les paradoxes au sein de réseaux dominés aussi bien par Sorel que Jaurès, Mussolini, Valois et de Monzie.
L'itinéraire d'Hubert Lagardelle (1874-1958) est d'abord celui d'un intellectuel passant de l'extrême gauche, dans le mouvement socialiste et syndicaliste, à l'extrême droite, dans la mouvance fasciste et le régime de Vichy. Au-delà d'un apparent illogisme chez ce bourgeois d'origine et de formation, on perçoit une quête constante de la révolution — du syndicalisme révolutionnaire à la révolution nationale — qu'il croit atteindre dans les corps intermédiaires (syndicat, région, métier) rejetant l'individu, l'Etat et finalement les valeurs de la démocratie libérale.
Il développa son action à une triple échelle, régionale, celle du Sud-Ouest, nationale, du Quartier Latin au gouvernement de Laval, et internationale, des voyages de formation en Europe à la mission diplomatique à Rome, toujours à la recherche d'une "troisième voie" entre libéralisme et collectivisme. Il fut l'homme de tous les paradoxes au sein de réseaux dominés aussi bien par Sorel que Jaurès, Mussolini, Valois et de Monzie.
Il développa son action à une triple échelle, régionale, celle du Sud-Ouest, nationale, du Quartier Latin au gouvernement de Laval, et internationale, des voyages de formation en Europe à la mission diplomatique à Rome, toujours à la recherche d'une "troisième voie" entre libéralisme et collectivisme. Il fut l'homme de tous les paradoxes au sein de réseaux dominés aussi bien par Sorel que Jaurès, Mussolini, Valois et de Monzie.