Hôtel Lutétia. Un exil allemand à Paris
Par :Formats :
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages403
- PrésentationBroché
- Poids0.46 kg
- Dimensions13,1 cm × 20,6 cm × 3,1 cm
- ISBN2-84186-000-0
- EAN9782841860005
- Date de parution01/03/1995
- ÉditeurMichalon
Résumé
De 1933 à 1939, l'hôtel Lutétia a été lieu d'accueil et de rencontre des émigrés allemands, le "Comité Lutétia" y tenait ses réunions. Des personnalités aussi différentes que Heinrich Mann et Klaus Mann, Lion Feuchtwanger, Arnold Zweig, Max Horkheimer, Willi Münzenberg, Walter Ulbricht et Willy Brandt s'y croisèrent. L'hôtel a été le théâtre de controverses et fractures : communistes, sociaux-démocrates et libéraux s'y affrontèrent vivement.
Les stratégies d'un "front-populaire" européen y furent élaborées. Des intellectuels allemands indépendants y débattirent d'une "autre" Allemagne. Bouleversés par la guerre d'Espagne, la terreur stalinienne et le nazisme allemand, ils y discutèrent d'un humanisme militant, d'un renouveau et des hommes politiques. De 1940 à 1944, le Lutétia devint le siège de l'Amiral Canaris et de ses services de contre-espionnage.
Après la libération de Paris, l'hôtel accueillit les rescapés des camps de concentration. À travers un pan oublié de l'histoire allemande, ce livre rigoureux éclaire aussi les tensions des relations culturelles franco-allemandes et aborde la question, toujours d'actualité, de la relation des intellectuels au pouvoir politique.
Les stratégies d'un "front-populaire" européen y furent élaborées. Des intellectuels allemands indépendants y débattirent d'une "autre" Allemagne. Bouleversés par la guerre d'Espagne, la terreur stalinienne et le nazisme allemand, ils y discutèrent d'un humanisme militant, d'un renouveau et des hommes politiques. De 1940 à 1944, le Lutétia devint le siège de l'Amiral Canaris et de ses services de contre-espionnage.
Après la libération de Paris, l'hôtel accueillit les rescapés des camps de concentration. À travers un pan oublié de l'histoire allemande, ce livre rigoureux éclaire aussi les tensions des relations culturelles franco-allemandes et aborde la question, toujours d'actualité, de la relation des intellectuels au pouvoir politique.
De 1933 à 1939, l'hôtel Lutétia a été lieu d'accueil et de rencontre des émigrés allemands, le "Comité Lutétia" y tenait ses réunions. Des personnalités aussi différentes que Heinrich Mann et Klaus Mann, Lion Feuchtwanger, Arnold Zweig, Max Horkheimer, Willi Münzenberg, Walter Ulbricht et Willy Brandt s'y croisèrent. L'hôtel a été le théâtre de controverses et fractures : communistes, sociaux-démocrates et libéraux s'y affrontèrent vivement.
Les stratégies d'un "front-populaire" européen y furent élaborées. Des intellectuels allemands indépendants y débattirent d'une "autre" Allemagne. Bouleversés par la guerre d'Espagne, la terreur stalinienne et le nazisme allemand, ils y discutèrent d'un humanisme militant, d'un renouveau et des hommes politiques. De 1940 à 1944, le Lutétia devint le siège de l'Amiral Canaris et de ses services de contre-espionnage.
Après la libération de Paris, l'hôtel accueillit les rescapés des camps de concentration. À travers un pan oublié de l'histoire allemande, ce livre rigoureux éclaire aussi les tensions des relations culturelles franco-allemandes et aborde la question, toujours d'actualité, de la relation des intellectuels au pouvoir politique.
Les stratégies d'un "front-populaire" européen y furent élaborées. Des intellectuels allemands indépendants y débattirent d'une "autre" Allemagne. Bouleversés par la guerre d'Espagne, la terreur stalinienne et le nazisme allemand, ils y discutèrent d'un humanisme militant, d'un renouveau et des hommes politiques. De 1940 à 1944, le Lutétia devint le siège de l'Amiral Canaris et de ses services de contre-espionnage.
Après la libération de Paris, l'hôtel accueillit les rescapés des camps de concentration. À travers un pan oublié de l'histoire allemande, ce livre rigoureux éclaire aussi les tensions des relations culturelles franco-allemandes et aborde la question, toujours d'actualité, de la relation des intellectuels au pouvoir politique.