Hommes et dieux. Une approche raisonnée de la religion
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- Nombre de pages345
- PrésentationBroché
- Poids0.38 kg
- Dimensions14,0 cm × 22,0 cm × 2,5 cm
- ISBN978-2-296-02689-6
- EAN9782296026896
- Date de parution06/03/2007
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Existe-t-il un Dieu, sorte d'Etre Suprême, ou non ? Est-ce Dieu qui a créé l'homme ou l'homme qui a créé Dieu ? On en pense ce que l'on veut. Mais on constate, en tout cas, qu'une multitude de dieux a toujours habité, hanté même, l'imaginaire, les rêves, les passions, les folies des hommes. Ces dieux, chimères ou non, s'entremêlent, s'accordent, se querellent, s'entre-déchirent... et ils sont bien là, morceaux de notre vie ; ils vivent au moins autant que nous qui vivons avec eux.
Que dire de ces chimères ? Les mépriser reviendrait à mépriser l'esprit humain, les extirper, exciser l'âme humaine. Folle serait la religion ? Peut-être. Mais si l'on peut se bercer d'amour ou de poésie, pourquoi ne pas se bercer aussi de religion ? La chimère a tellement plus d'attrait que la prosaïque réalité.
Que dire de ces chimères ? Les mépriser reviendrait à mépriser l'esprit humain, les extirper, exciser l'âme humaine. Folle serait la religion ? Peut-être. Mais si l'on peut se bercer d'amour ou de poésie, pourquoi ne pas se bercer aussi de religion ? La chimère a tellement plus d'attrait que la prosaïque réalité.
Existe-t-il un Dieu, sorte d'Etre Suprême, ou non ? Est-ce Dieu qui a créé l'homme ou l'homme qui a créé Dieu ? On en pense ce que l'on veut. Mais on constate, en tout cas, qu'une multitude de dieux a toujours habité, hanté même, l'imaginaire, les rêves, les passions, les folies des hommes. Ces dieux, chimères ou non, s'entremêlent, s'accordent, se querellent, s'entre-déchirent... et ils sont bien là, morceaux de notre vie ; ils vivent au moins autant que nous qui vivons avec eux.
Que dire de ces chimères ? Les mépriser reviendrait à mépriser l'esprit humain, les extirper, exciser l'âme humaine. Folle serait la religion ? Peut-être. Mais si l'on peut se bercer d'amour ou de poésie, pourquoi ne pas se bercer aussi de religion ? La chimère a tellement plus d'attrait que la prosaïque réalité.
Que dire de ces chimères ? Les mépriser reviendrait à mépriser l'esprit humain, les extirper, exciser l'âme humaine. Folle serait la religion ? Peut-être. Mais si l'on peut se bercer d'amour ou de poésie, pourquoi ne pas se bercer aussi de religion ? La chimère a tellement plus d'attrait que la prosaïque réalité.