Histoire du corps. Tome 1, De la Renaissance aux Lumières
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- Nombre de pages612
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.358 kg
- Dimensions10,8 cm × 17,6 cm × 2,7 cm
- ISBN978-2-7578-2548-8
- EAN9782757825488
- Date de parution20/10/2011
- CollectionPoints. Histoire
- ÉditeurPoints
Résumé
Adulé ou maltraité, étudié, négligé, fardé, embelli, enlaidi, dissimulé… le corps humain nous inspire des attitudes et des sentiments aussi variés que révélateurs de nos sociétés. C’est qu'il n’est pas une donnée éternelle. Changeant au cours des âges, tributaire des conditions de vie et des cultures qui, elles-mêmes, évoluent. Cette série de trois volumes réalise la magistrale synthèse historique qui manquait sur la place du corps dans la société occidentale.
Le premier volume s’attache au corps « moderne » des anatomistes, observé, manipulé, disséqué, mais aussi au corps qui souffre et qui jouit. Lorsque ce corps « moderne » émerge au XVIe siècle, c'est la première fois qu'il peut être imaginé indépendamment de l’influence des planètes, des forces occultes. Non que disparaissent, loin s’en faut, les références sacrées. Mais un conflit de culture s’avive avec la Renaissance où le corps se singularise dans toute son autonomie.
À quoi s’ajoute un intense travail de la modernité sur les frontières du soi, les pulsions, les désirs : contrôle des politesses et des sociabilités, polissage des violences, auto-surveillance des gestes dans l’univers de l’intime.
Le premier volume s’attache au corps « moderne » des anatomistes, observé, manipulé, disséqué, mais aussi au corps qui souffre et qui jouit. Lorsque ce corps « moderne » émerge au XVIe siècle, c'est la première fois qu'il peut être imaginé indépendamment de l’influence des planètes, des forces occultes. Non que disparaissent, loin s’en faut, les références sacrées. Mais un conflit de culture s’avive avec la Renaissance où le corps se singularise dans toute son autonomie.
À quoi s’ajoute un intense travail de la modernité sur les frontières du soi, les pulsions, les désirs : contrôle des politesses et des sociabilités, polissage des violences, auto-surveillance des gestes dans l’univers de l’intime.
Adulé ou maltraité, étudié, négligé, fardé, embelli, enlaidi, dissimulé… le corps humain nous inspire des attitudes et des sentiments aussi variés que révélateurs de nos sociétés. C’est qu'il n’est pas une donnée éternelle. Changeant au cours des âges, tributaire des conditions de vie et des cultures qui, elles-mêmes, évoluent. Cette série de trois volumes réalise la magistrale synthèse historique qui manquait sur la place du corps dans la société occidentale.
Le premier volume s’attache au corps « moderne » des anatomistes, observé, manipulé, disséqué, mais aussi au corps qui souffre et qui jouit. Lorsque ce corps « moderne » émerge au XVIe siècle, c'est la première fois qu'il peut être imaginé indépendamment de l’influence des planètes, des forces occultes. Non que disparaissent, loin s’en faut, les références sacrées. Mais un conflit de culture s’avive avec la Renaissance où le corps se singularise dans toute son autonomie.
À quoi s’ajoute un intense travail de la modernité sur les frontières du soi, les pulsions, les désirs : contrôle des politesses et des sociabilités, polissage des violences, auto-surveillance des gestes dans l’univers de l’intime.
Le premier volume s’attache au corps « moderne » des anatomistes, observé, manipulé, disséqué, mais aussi au corps qui souffre et qui jouit. Lorsque ce corps « moderne » émerge au XVIe siècle, c'est la première fois qu'il peut être imaginé indépendamment de l’influence des planètes, des forces occultes. Non que disparaissent, loin s’en faut, les références sacrées. Mais un conflit de culture s’avive avec la Renaissance où le corps se singularise dans toute son autonomie.
À quoi s’ajoute un intense travail de la modernité sur les frontières du soi, les pulsions, les désirs : contrôle des politesses et des sociabilités, polissage des violences, auto-surveillance des gestes dans l’univers de l’intime.