Histoire du breton écrit. Des origines au XVIIIe siècle

Par : Francis Favereau
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Nombre de pages94
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.37 kg
  • Dimensions22,0 cm × 21,0 cm × 0,8 cm
  • ISBN978-2-36758-141-5
  • EAN9782367581415
  • Date de parution01/09/2022
  • ÉditeurSkol Vreizh

Résumé

Qui n'a entendu dire que le breton était une langue orale, paysanne, populaire, que sais-je encore ? Elle l'est effectivement ou l'a été parfois, selon la période. Mais, aussi loin que l'on remonte dans le temps, jusqu'aux siècles obscurs - peut-être même jusqu'avant notre ère pour le celtique commun - le breton, dit armoricain ou de Petite Bretagne, s'est plus ou moins écrit dès les origines, vers les années 500 après la fin de l'empire romain.
Francis Favereau recense et présente les nombreuses traces d'écriture qui parsèment l'histoire jusqu'au XVIIIe siècle : rares pierres ou poutres gravée, gloses des manuscrits latins, poèmes épars. Vient ensuite une période de plus grande abondance, vies de saints, pièces de théâtres, dictionnaires, multiples créations littéraires, oeuvres de clercs et de lettrés, qui ont porté cette langue écrite, parfois savante, jusqu'à la fin de l'Ancien Régime.
Qui n'a entendu dire que le breton était une langue orale, paysanne, populaire, que sais-je encore ? Elle l'est effectivement ou l'a été parfois, selon la période. Mais, aussi loin que l'on remonte dans le temps, jusqu'aux siècles obscurs - peut-être même jusqu'avant notre ère pour le celtique commun - le breton, dit armoricain ou de Petite Bretagne, s'est plus ou moins écrit dès les origines, vers les années 500 après la fin de l'empire romain.
Francis Favereau recense et présente les nombreuses traces d'écriture qui parsèment l'histoire jusqu'au XVIIIe siècle : rares pierres ou poutres gravée, gloses des manuscrits latins, poèmes épars. Vient ensuite une période de plus grande abondance, vies de saints, pièces de théâtres, dictionnaires, multiples créations littéraires, oeuvres de clercs et de lettrés, qui ont porté cette langue écrite, parfois savante, jusqu'à la fin de l'Ancien Régime.
Gwerz Denez
Denez Prigent
Grand Format
25,00 €