Histoire de la Résistance (1940-1945)
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- Nombre de pages698
- FormatPoche
- Poids0.4 kg
- Dimensions11,0 cm × 18,0 cm × 2,8 cm
- ISBN2-253-90475-9
- EAN9782253904755
- Date de parution12/11/2003
- CollectionLe Livre de Poche références
- ÉditeurLGF/Livre de Poche
- Préfacier Abbé de Naurois
Résumé
La Résistance est pour la France contemporaine un élément essentiel de son histoire. C'est ce que souligne, avec un grand souci d'objectivité, François-Georges Dreyfus. Ce livre, fondé sur les archives de la gendarmerie, les travaux du Comité d'histoire de la Seconde Guerre mondiale, auquel appartenait l'auteur, et sur ceux de l'Institut d'histoire du temps présent, intègre de manière souvent neuve tout à la fois le contexte politique, les données stratégiques, les idées, les actions et les combats de la Résistance. La Résistance n'est pas une, comme on le dit souvent. À une première Résistance qui dure jusqu'au moment où, en 1942, Vichy s'engage dans la collaboration, succède celles des maquis liés au STO, des combats des Glières et du Vercors, de la Libération. À l'intérieur de la Résistance, les idéologies sont diverses. Cette diversité, de Gaulle, par l'intermédiaire de Jean
Moulin, tentera de la maîtriser en créant le Conseil
national de la Résistance. Cela n'empêchera pas les
conflits entre les Mouvements, entre les Mouvements et
Londres puis Alger, entre les Mouvements et les états-majors alliés. Mais, sans de Gaulle, la Résistance n'aurait
pas eu l'aura qui l'a couronnée depuis cinquante ans.
La Résistance est pour la France contemporaine un élément essentiel de son histoire. C'est ce que souligne, avec un grand souci d'objectivité, François-Georges Dreyfus. Ce livre, fondé sur les archives de la gendarmerie, les travaux du Comité d'histoire de la Seconde Guerre mondiale, auquel appartenait l'auteur, et sur ceux de l'Institut d'histoire du temps présent, intègre de manière souvent neuve tout à la fois le contexte politique, les données stratégiques, les idées, les actions et les combats de la Résistance. La Résistance n'est pas une, comme on le dit souvent. À une première Résistance qui dure jusqu'au moment où, en 1942, Vichy s'engage dans la collaboration, succède celles des maquis liés au STO, des combats des Glières et du Vercors, de la Libération. À l'intérieur de la Résistance, les idéologies sont diverses. Cette diversité, de Gaulle, par l'intermédiaire de Jean
Moulin, tentera de la maîtriser en créant le Conseil
national de la Résistance. Cela n'empêchera pas les
conflits entre les Mouvements, entre les Mouvements et
Londres puis Alger, entre les Mouvements et les états-majors alliés. Mais, sans de Gaulle, la Résistance n'aurait
pas eu l'aura qui l'a couronnée depuis cinquante ans.