Histoire d'un camp nazi. L'île d'Aurigny (Alderney)

Par : Jean-Louis Vigla

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  • Nombre de pages95
  • PrésentationBroché
  • Poids0.235 kg
  • Dimensions16,5 cm × 23,5 cm × 0,7 cm
  • ISBN2-84253-790-4
  • EAN9782842537906
  • Date de parution01/09/2002
  • CollectionEvocations
  • ÉditeurSutton éditions

Résumé

Parmi les îles anglo-normandes, Aurigny, ou Alderney en anglais, est à la fois la plus proche des cotes françaises et la moins connue. Pourtant, dès 1940, elle est transformée en bagne par les nazis qui y installent des " camps de concentration " (l'île en compte quatre principaux). Jusqu'à 9 000 prisonniers et gardiens survivront sur ce bout de terre de seulement 8 km². Investi du " devoir de mémoire " et disposant, entre autres, du témoignage direct de son père, interné en 1942 et évadé en 1943, l'écrivain Jean-Louis Vigla a mené une véritable enquête sur cette prison allemande oubliée par l'Histoire. Des civils catalogués comme clochards, des républicains espagnols ou anciens des Brigades internationales venus du camp du Vernet, des français juifs transférés de celui de Drancy, des soldats russes et ukrainiens, des personnes d'origine maghrébine dont certaines raflées sur le vieux port de Marseille et même quelques Chinois y furent séquestrés pour servir de main-d'œuvre bon marché. Dans les camps, tous contrôlés par les SS à partir de 1943, l'insalubrité, la malnutrition, les violences physiques sont le lot commun. Exécutions sommaires et massacres complètent cet infâme tableau. Forcément incomplet, mais reposant sur des faits avérés, ce recueil de témoignages est une pièce à verser au douloureux dossier de la Seconde Guerre mondiale, pour la mémoire et la postérité.
Parmi les îles anglo-normandes, Aurigny, ou Alderney en anglais, est à la fois la plus proche des cotes françaises et la moins connue. Pourtant, dès 1940, elle est transformée en bagne par les nazis qui y installent des " camps de concentration " (l'île en compte quatre principaux). Jusqu'à 9 000 prisonniers et gardiens survivront sur ce bout de terre de seulement 8 km². Investi du " devoir de mémoire " et disposant, entre autres, du témoignage direct de son père, interné en 1942 et évadé en 1943, l'écrivain Jean-Louis Vigla a mené une véritable enquête sur cette prison allemande oubliée par l'Histoire. Des civils catalogués comme clochards, des républicains espagnols ou anciens des Brigades internationales venus du camp du Vernet, des français juifs transférés de celui de Drancy, des soldats russes et ukrainiens, des personnes d'origine maghrébine dont certaines raflées sur le vieux port de Marseille et même quelques Chinois y furent séquestrés pour servir de main-d'œuvre bon marché. Dans les camps, tous contrôlés par les SS à partir de 1943, l'insalubrité, la malnutrition, les violences physiques sont le lot commun. Exécutions sommaires et massacres complètent cet infâme tableau. Forcément incomplet, mais reposant sur des faits avérés, ce recueil de témoignages est une pièce à verser au douloureux dossier de la Seconde Guerre mondiale, pour la mémoire et la postérité.
L'évadé d'Aurigny
Jean-Louis Vigla
E-book
9,99 €