Hannah Arendt, la "banalité du mal" comme mal politique. Volume 2

Par : Marie-Claire Caloz-Tschopp
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  • Nombre de pages255
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.4 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,8 cm
  • ISBN2-7384-6706-7
  • EAN9782738467065
  • Date de parution01/06/1998
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Dans ce volume, qui fait suite au volume 1 (Les sans-Etat et le "droit d'avoir des droits"), est précisé ce qu'est la banalité du mal en tant que mal politique dans l'oeuvre de Hannah Arendt et sont présentés des visages du mal politique aujourd'hui. En quels termes, Hannah Arendt définit-elle la banalité du mal en tant que mal politique ? Comment est-il possible qu'il y ait refus d'affronter l'intériorité du mal et son extériorité dans ses rapports à l'Etat, à la société, lorsque le mal est politique ? Comprendre, résister au mal politique, comment, par quels moyens, avec qui, dans quels buts ? Que signifie consentir ou non au mal politique, se demande une des auteurs à partir de ses travaux féministes ? Nous verrons que la pensée, le jugement dans la pluralité grâce à la mémoire, à la liberté, au renforcement du sujet et de l'espace public sont les enseignements d'Arendt qui s'est inspirée des Grecs et de Kant.
Nous verrons aussi que Hannah Arendt, en pensant au mal politique, apporte des éléments pour repenser les frontières et les rapports entre le sujet psychique et la société.
Dans ce volume, qui fait suite au volume 1 (Les sans-Etat et le "droit d'avoir des droits"), est précisé ce qu'est la banalité du mal en tant que mal politique dans l'oeuvre de Hannah Arendt et sont présentés des visages du mal politique aujourd'hui. En quels termes, Hannah Arendt définit-elle la banalité du mal en tant que mal politique ? Comment est-il possible qu'il y ait refus d'affronter l'intériorité du mal et son extériorité dans ses rapports à l'Etat, à la société, lorsque le mal est politique ? Comprendre, résister au mal politique, comment, par quels moyens, avec qui, dans quels buts ? Que signifie consentir ou non au mal politique, se demande une des auteurs à partir de ses travaux féministes ? Nous verrons que la pensée, le jugement dans la pluralité grâce à la mémoire, à la liberté, au renforcement du sujet et de l'espace public sont les enseignements d'Arendt qui s'est inspirée des Grecs et de Kant.
Nous verrons aussi que Hannah Arendt, en pensant au mal politique, apporte des éléments pour repenser les frontières et les rapports entre le sujet psychique et la société.