Guide de recherche généalogique au Portugal
Par :Formats :
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages47
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.08 kg
- Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 0,5 cm
- ISBN978-2-84766-148-4
- EAN9782847661484
- Date de parution01/06/2007
- CollectionGuide de recherche
- ÉditeurEGV Editions
Résumé
Il y a plus de quatre siècles que l'on a reconnu, au Portugal, l'intérêt des registres paroissiaux. Dès le milieu du XIVe siècle, le roi Alphonse IV légiféra à ce sujet. Jugeant qu'il fallait prendre des mesures pour réprimer les crimes et les abus commis par le clergé, il promulgua à Evora, le 7 décembre 1352, une loi adressée aux évêques du royaume ; il en existe encore aujourd'hui une copie, datée du 28 février 1353, dans les Archives de la Municipalité de Coimbra.
En vertu de cette loi, on devait commencer à enregistrer les mariages. Rien ne permet toutefois de supposer qu'elle ait jamais été appliquée ; si elle le fut, ce fut de façon si éphémère qu'aucune preuve n'en est parvenue jusqu'à nous.
En vertu de cette loi, on devait commencer à enregistrer les mariages. Rien ne permet toutefois de supposer qu'elle ait jamais été appliquée ; si elle le fut, ce fut de façon si éphémère qu'aucune preuve n'en est parvenue jusqu'à nous.
Il y a plus de quatre siècles que l'on a reconnu, au Portugal, l'intérêt des registres paroissiaux. Dès le milieu du XIVe siècle, le roi Alphonse IV légiféra à ce sujet. Jugeant qu'il fallait prendre des mesures pour réprimer les crimes et les abus commis par le clergé, il promulgua à Evora, le 7 décembre 1352, une loi adressée aux évêques du royaume ; il en existe encore aujourd'hui une copie, datée du 28 février 1353, dans les Archives de la Municipalité de Coimbra.
En vertu de cette loi, on devait commencer à enregistrer les mariages. Rien ne permet toutefois de supposer qu'elle ait jamais été appliquée ; si elle le fut, ce fut de façon si éphémère qu'aucune preuve n'en est parvenue jusqu'à nous.
En vertu de cette loi, on devait commencer à enregistrer les mariages. Rien ne permet toutefois de supposer qu'elle ait jamais été appliquée ; si elle le fut, ce fut de façon si éphémère qu'aucune preuve n'en est parvenue jusqu'à nous.