Guérir des autres

Par : Albert Glaude

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  • Nombre de pages302
  • PrésentationBroché
  • Poids0.42 kg
  • Dimensions15,3 cm × 22,6 cm × 1,7 cm
  • ISBN2-7619-0984-4
  • EAN9782761909846
  • Date de parution01/10/1991
  • ÉditeurLes Editions de l'Homme

Résumé

" Nous sommes les autres, a déjà souligné de façon lapidaire Henri Laborit, c'est-à-dire que nous sommes devenus avec le temps ce que les autres-nos parents, les membres de notre famille nos éducateurs et, plus généralement, notre environnement socio-culturel - ont fait de nous, consciemment ou non. Nous sommes donc toujours influencés, le plus souvent à notre insu, par des divers systèmes dont nous faisons partie. " S'appuyant sur ce constat, Albert Glaude démontre dans cet ouvrage novateur sinon provocateur que nos problèmes de santé physique ou mentale résultent très souvent de chocs émotifs violents survenus à un moment déterminant de notre vie. Qu'il s'agisse des abus sexuels au sein de la famille, des ravages causés par la " bonne éducation " ou même des angoisses qui tuent cancéreux et sidéens, tout porte à conclure, selon lui, que les autres seraient presque toujours responsables de nos maladies.
" Nous sommes les autres, a déjà souligné de façon lapidaire Henri Laborit, c'est-à-dire que nous sommes devenus avec le temps ce que les autres-nos parents, les membres de notre famille nos éducateurs et, plus généralement, notre environnement socio-culturel - ont fait de nous, consciemment ou non. Nous sommes donc toujours influencés, le plus souvent à notre insu, par des divers systèmes dont nous faisons partie. " S'appuyant sur ce constat, Albert Glaude démontre dans cet ouvrage novateur sinon provocateur que nos problèmes de santé physique ou mentale résultent très souvent de chocs émotifs violents survenus à un moment déterminant de notre vie. Qu'il s'agisse des abus sexuels au sein de la famille, des ravages causés par la " bonne éducation " ou même des angoisses qui tuent cancéreux et sidéens, tout porte à conclure, selon lui, que les autres seraient presque toujours responsables de nos maladies.