Great Black Music. Un parcours en 110 albums essentiels
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- Nombre de pages247
- PrésentationBroché
- Poids0.332 kg
- Dimensions14,8 cm × 21,0 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-36054-094-5
- EAN9782360540945
- Date de parution20/06/2013
- CollectionFormes
- Éditeurmot et le reste (Le)
- PréfacierFlorent Mazzoleni
Résumé
La grande musique noire a toujours été un poing levé, à la fois à l'égard des conditions socio-économiques au sein desquelles elle a pris forme, mais aussi comme relais de diffusion vindicatif de vibrations inédites. Fier et vibrant, ce poing levé revêt des formes multiples. La trompette euphorique de Louis Armstrong dans les bordels de La Nouvelle-Orléans, les arrangements géniaux de Dave Bartholomew ou la voix fougueuse d'Earl Palmer dans l'unique studio de la ville, la voix surpuissante d'Howlin' Wolf sur les ondes d'une radio de West Memphis, la guitare prométhéenne de Muddy Waters dans un club du Southside de Chicago, la basse d'airain de James Jamerson dans "la fosse aux serpents" du studio Motown de Detroit ou deux platines reliées artisanalement entre elles par Kool Herc dans un parc du Bronx, sont autant de manifestes musicaux d'une grandeur jamais démentie.
Loin d'être lisse et uniforme, cette grande fresque murale aux cent dix nuances de noir offre des aspérités lumineuses à ceux qui la parcourent. La sélection de Philippe Robert propose un "regard sur le passé à travers le présent" de la musique noire.
Loin d'être lisse et uniforme, cette grande fresque murale aux cent dix nuances de noir offre des aspérités lumineuses à ceux qui la parcourent. La sélection de Philippe Robert propose un "regard sur le passé à travers le présent" de la musique noire.
La grande musique noire a toujours été un poing levé, à la fois à l'égard des conditions socio-économiques au sein desquelles elle a pris forme, mais aussi comme relais de diffusion vindicatif de vibrations inédites. Fier et vibrant, ce poing levé revêt des formes multiples. La trompette euphorique de Louis Armstrong dans les bordels de La Nouvelle-Orléans, les arrangements géniaux de Dave Bartholomew ou la voix fougueuse d'Earl Palmer dans l'unique studio de la ville, la voix surpuissante d'Howlin' Wolf sur les ondes d'une radio de West Memphis, la guitare prométhéenne de Muddy Waters dans un club du Southside de Chicago, la basse d'airain de James Jamerson dans "la fosse aux serpents" du studio Motown de Detroit ou deux platines reliées artisanalement entre elles par Kool Herc dans un parc du Bronx, sont autant de manifestes musicaux d'une grandeur jamais démentie.
Loin d'être lisse et uniforme, cette grande fresque murale aux cent dix nuances de noir offre des aspérités lumineuses à ceux qui la parcourent. La sélection de Philippe Robert propose un "regard sur le passé à travers le présent" de la musique noire.
Loin d'être lisse et uniforme, cette grande fresque murale aux cent dix nuances de noir offre des aspérités lumineuses à ceux qui la parcourent. La sélection de Philippe Robert propose un "regard sur le passé à travers le présent" de la musique noire.