Grandir à Bordeaux dans les années 1940 et 1950

Par : Véronique Cardineau

Formats :

Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Nombre de pages63
  • PrésentationBroché
  • Poids0.256 kg
  • Dimensions16,6 cm × 24,0 cm × 0,7 cm
  • ISBN978-3-8313-2620-4
  • EAN9783831326204
  • Date de parution09/11/2012
  • CollectionGrandir à...
  • ÉditeurWartberg

Résumé

Bordeaux, c'est le port de la Lune, une ville ouverte sur la Garonne avec les quais des Chartrons qui épousent la courbe du fleuve ; mais aussi sur la mer, avec un port de commerce autrefois relié aux Amériques et à l'Afrique. C'est la ville du vin avec ses négoces et sa " bourgeoisie du bouchon ". C'est aussi une ville " de pierres ", un ensemble d'immeubles aux façades blondes datant du XVllle siècle, désormais classé au patrimoine mondial de l'Unesco.
Nous qui y avons grandi dans les années 1940 et 1950, nous avons été nourris à la bouillie Jock, joué au Parc bordelais et dans la base sous-marine abandonnée par les Allemands, emprunté les derniers tramways, suivi la construction des premières cités et de l'aéroport de Mérignac sous l'égide du maire Jacques Chaban-Delmas. Notre art de vivre, notre accent méridional, notre climat ensoleillé et l'océan Atlantique, si proche, font de nous des habitants fiers de notre ville et de notre région, où il fait bon vivre.
Bordeaux, c'est le port de la Lune, une ville ouverte sur la Garonne avec les quais des Chartrons qui épousent la courbe du fleuve ; mais aussi sur la mer, avec un port de commerce autrefois relié aux Amériques et à l'Afrique. C'est la ville du vin avec ses négoces et sa " bourgeoisie du bouchon ". C'est aussi une ville " de pierres ", un ensemble d'immeubles aux façades blondes datant du XVllle siècle, désormais classé au patrimoine mondial de l'Unesco.
Nous qui y avons grandi dans les années 1940 et 1950, nous avons été nourris à la bouillie Jock, joué au Parc bordelais et dans la base sous-marine abandonnée par les Allemands, emprunté les derniers tramways, suivi la construction des premières cités et de l'aéroport de Mérignac sous l'égide du maire Jacques Chaban-Delmas. Notre art de vivre, notre accent méridional, notre climat ensoleillé et l'océan Atlantique, si proche, font de nous des habitants fiers de notre ville et de notre région, où il fait bon vivre.