Goulebenéze et les auteurs patoisants des deux Charentes. Tome 1, La jeunesse d'Evariste Poitevin

Par : Christian Genet

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  • Nombre de pages351
  • PrésentationBroché
  • Poids1.07 kg
  • Dimensions19,0 cm × 26,0 cm × 2,0 cm
  • ISBN978-2-36746-393-3
  • EAN9782367463933
  • Date de parution01/12/2015
  • ÉditeurLa Geste

Résumé

Christian Genet a entrepris la publication de plusieurs tomes de la biographie des auteurs patoisants des deux Charentes dont le chansonnier Goulebenéze est le représentant le plus illustre. Ce premier volume commence avec un chapitre important sur la jeunesse de Goulebenéze alors que celui n'a pas encore fait ses études de barie saintogeais. La littérature patoisante des Charentes n'apparaît dans tout son éclat que dans la première moitié du XIXe siècle.
Les premiers auteurs qui lui ont donné ses lettres de noblesse se nomment Burgaud des Marets, de Jarnac ; Marc Marchadier, de Cognac ; Pierre Cluzeaux, d'Aigre ; Jean Condat (dit Jean Chapelot), de Vindelle, avec ses Contes balzatois ; Eugène Lemarié, de Saint-Jean d'Angély, et ses Fariboles saintong'heaises, et enfin le talentueux dessinateur pontois Barthélemy Gautier dont les croquis des paysans de Mazerolles ont soulevé l'admiration de tous les charentais.
Ceux-là sont les précurseurs du régionalisme Charentais. Ils ont fait des émules dont les différentes biographies feront l'objet du deuxième tome.
Christian Genet a entrepris la publication de plusieurs tomes de la biographie des auteurs patoisants des deux Charentes dont le chansonnier Goulebenéze est le représentant le plus illustre. Ce premier volume commence avec un chapitre important sur la jeunesse de Goulebenéze alors que celui n'a pas encore fait ses études de barie saintogeais. La littérature patoisante des Charentes n'apparaît dans tout son éclat que dans la première moitié du XIXe siècle.
Les premiers auteurs qui lui ont donné ses lettres de noblesse se nomment Burgaud des Marets, de Jarnac ; Marc Marchadier, de Cognac ; Pierre Cluzeaux, d'Aigre ; Jean Condat (dit Jean Chapelot), de Vindelle, avec ses Contes balzatois ; Eugène Lemarié, de Saint-Jean d'Angély, et ses Fariboles saintong'heaises, et enfin le talentueux dessinateur pontois Barthélemy Gautier dont les croquis des paysans de Mazerolles ont soulevé l'admiration de tous les charentais.
Ceux-là sont les précurseurs du régionalisme Charentais. Ils ont fait des émules dont les différentes biographies feront l'objet du deuxième tome.